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Bien |
Mauron : Mais c'est délicieux... Tellement ! [Sélection GL] |
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Histoire de vous faire sourire..
Le poème m'a fait instinctivement imaginer un acte de vie, avec une dimension tout autre que celle habituellement abordée par la littérature commune lorsqu'un lâcher de spermatozoïdes cherche à féconder une ovule. Je suis consciente que c'est incongru mais en relisant plusieurs fois, moi même perplexe devant c... (28/10/2015) |
Bien |
Pouet : Un peu de contenance |
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Belle musicalité qui m'a emportée dès les premiers vers, une belle énergie de plume et l'agencement, les vides, ne desservent pas la poésie, au contraire.
Ce qui me gêne en outre, sans que ça ne m'entrave, c'est de ne pas avoir saisi le sens de certains vers qui m'intriguent comme :
"Si la colombe saigne
Braquons le policier"
"Si la mis... (30/8/2014) |
Bien ↑ |
Robot : Forêt désaccordée [Sélection GL] |
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Comme si j'y étais
Les sons, l'aria, les odeurs, le mouvement, plus qu'à se laisser porter, le temps d'une tempête, le temps d'une ondée.
Votre poème en prose me fait renouer avec les plaisirs d'une poésie simplement accessible. (30/8/2014) |
Beaucoup ↑ |
Edgard : Promenades |
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S'il est un lieu qui permet autant un aller qu'un retour, permettrait même jusqu'à l'éternel retour cher aux stoïciens, c'est un pont. Pourtant on lit comme ouverture :
"Tu n'en reviendras pas, dit l'eau."
"et sous le pont" "pont aux Doubles" "Où bat le coeur de la cité"
je lis une cavité où coule l'eau comme coule le sang dans une veine, ... (28/8/2014) |
Passionnément |
Louis : Je fais rire |
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Pour nombre de textes qui me touchent j'ai besoin de m' en imprégner longuement, pendant des jours, pour celui là, qui me touche également, les commentaires s'imposent à chaud, au point de chaparder un ordinateur qui ne m'appartient pas.
Si pleurer avec quelqu'un ou pour quelqu'un c'est faire preuve d'empathie, je considère le rire grossièrem... (26/8/2014) |
Un peu |
paulsenoi : L'enfant [Sélection GL] |
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ce n'est pas tant "l'idiot" mais ce passage
Parfois, contrarié,
Par une voix un bruit
On ne sait
Il gémit et se frappe la tête
Qui me fait penser à un enfant autiste. Puis le voir aussi noyé, au bout de si peu de mots, non c'est trop de drame pour moi.
Soit l'autisme, soit la noyade, que le poète choisisse et il nous fera je le sais... (20/8/2014) |
Beaucoup |
troupi : Rêveries |
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Je partage tant avec ce qui fut dit d'élogieux, mais si je dois en apporter mon sel, mon grain sans rabâcher, je vous confie un aspect de ma lecture, sachant que celui de la mythologie a été plus adroitement et finement développé plus bas, par d'autres.
J'ai aimé cet univers où il y a à la fois de l'ordre (la roche) et du désordre (le vent, l... (19/8/2014) |
Beaucoup |
godetia : Le naufrage de l'ivronaute [Sélection GL] |
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émue. De cette vive émotion qui voile les imperfections.
Un beau poème, avec des mots simples, qui se boivent comme un verre de bon vin. Alcoolisme,deuil, amour : trois thèmes qui auraient fait produire des choses ampoulées, longues, alambiquées, pleurnichardes, engluées et gluantes..mais vous, vous y parvenez à aborder les trois d'un coup de... (19/8/2014) |
Beaucoup |
Pluriels1 : Océan des chaleurs [Sélection GL] |
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Les reliefs d'un désert projetés dans l’infini et dans l’éternel, dessinent un monde, un pays, un règne, alors que le titre m'a induit en erreur, me préparent à lire une certaine métaphore liant le désert à une étendue d'eau.
Mais implicitement, lorsque je lis "règne des pistes, maître tout puissant, fastueux décors, châteaux, lointains roche... (18/8/2014) |
Beaucoup |
wancyrs : Mère d'Afrique |
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Si le célèbre poème africain "A ma mère" de Camara Laye finit par ses mots
"Femme des champs, femme des rivières
femme du grand fleuve, ô toi, ma mère je
pense à toi..."
Le poème ci-présent le perpétue comme un hommage, reprend la dernière image puissante et la colorie, la développe, l'ancre dans l'espace. Désormais ce ne n'est plus n'i... (15/8/2014) |
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