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Bien |
kullab : L'homme abattu |
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Un récit intemporel qui m'a partagé.
D'un côté, une intrigue qui a attisé ma curiosité au fil des lignes. Ce long dialogue, touchant, drôle et absurde, m'a parfois hypnotisé.
De l'autre, les descriptions qui plombent les dialogues.
Les quelques phases narratives sont maladroites mais plante une ombre de décor. A mon sens, tu aurais pu t... (25/11/2008) |
Un peu ↑ |
solidane : Chapeau |
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Bien d'accord avec le Compère Filipo, mais la magie opère moins chez moi.
Tout ici est question de sensibilité.
Je dois en être moins pourvu.
Par contre, j'ai adoré cette phrase: "L’eau s’écoule un peu blasée, mouvement mécanique, à quoi bon partir quand c’est pour revenir inévitablement." (24/11/2008) |
Pas |
Aldaron : Les larmes du fantôme |
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J'ai eu du mal à entrer dans cette histoire. Et ce, pour différentes raisons.
L'entame est trop longue, noyée dans des détails qui, à mon sens, ne font pas avancer l'intrigue. Ce qui est primordiale dans ce type de nouvelle.
Le fait que Nolwenn aime le lait-fraise pourrait être un élément qui développe un aspect de sa personnalité, mais là... (22/11/2008) |
Un peu ↑ |
Maumab : Patient, vous avez dit patient |
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Je rejoins l'avis du compère Victhis0, en m'autorisant plus d'indulgence.
Même si les deux protagonistes sont âgés, leur phrasé est décalé, d'un autre temps.
L'aspect théâtrale est flagrant: le dialogue nous inonde et les extérieurs sont inexistants.
J'ai l'impression d'être en présence d'un chapitre que l'on aurait excisé d'un bouquin.
Sino... (20/11/2008) |
Bien ↓ |
Menvussa : Ces héros qui nous affolent |
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Repoussant et pourtant séduisant.
Maladroit mais amusant.
Incohérent, instinctif et vif.
Comment peut-on expliquer l'inénarrable.
Bon et Bond. (18/11/2008) |
Bien ↑ |
parcimonie : Est-ce que la carotte ? |
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Décalé et drôle. Par moment, j'ai eu la sensation de saisir de petits morceaux de Desproges.
A déguster. (18/11/2008) |
Bien |
Asch : Entretien d'embauche |
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Est-ce autobiographique? Si oui, je comprends mieux l'emploi du "Tu" comme exutoire. J'aime bien ce sentiment de détresse et cette peur de perdre le contrôle qui ressortent du texte. (18/11/2008) |
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