Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Un peu ↑ |
papyrobert : Comment laisser sa trace dans les waters |
|
Le pipi-caca m'a bien fait rigoler jusqu'à six ans, après je suis passée à autre chose.
Si j'aime bien l'idée des toilettes graffitées, j'aime moins le granité du bord de la cuvette, et introduire la notion de papier en livre d'or...
Il me semble pourtant qu'il y avait un sujet à élever, après tout, la condition humaine basique est la même pou... (27/12/2020) |
Beaucoup ↑ |
matrixien : De l'autre côté du ciel |
|
Un auteur un tant soit peu sensible à son époque, à ce qui l'entoure, n'a malheureusement besoin d'aucune substance pour se retrouver au bord du délire. Il est continuel, journalier, relayé de sources en fonds abyssaux, toujours vivant et claironnant.
Il y a une vision très réaliste dans ce poème de ce monde que chacun fait, que ce soit en l'in... (21/12/2020) |
Bien |
Inkstaining : Cosmos II |
|
C'est un poème très court, c'est donc l'épure quasi-totale qui donnera un impact, de celui qui laissera la première impression, celle qui restera.
J'ai bien ce poème, ce cri, mais il me semble un alouri par des répétions, toujours dommageable dans un court, à moins que vraiment il y en ait une raison, que je ne trouve pas ici. je m'explique : j... (20/12/2020) |
Beaucoup ↑ |
Capuano : Hydrosphresis |
|
Que voilà une très belle description poétique des marais salants !
Les quatre premiers vers sont un très judicieux transfert... je cultive la mer... je fais pousser le sel...
La via Salaria étant aux alentours de Rome, tous les chemins y mènent, naturellement :) et le paysage change, le rectiligne des oeillets et des étiers s'ouvrent sur le la... (20/12/2020) |
Beaucoup ↑ |
Lariviere : Les vertèbres du monde |
|
Je trouve à ce poème une très grande "présence" (si ça fait sens de dire ça)
Il y a un magma géologique et humain, il y a ce qui soutient le fragile, et qu'il faut admirer.
J'ai aimé sentir ces vertèbres du monde !
merci de cette bonne lecture ! (18/12/2020) |
Bien ↑ |
apierre : Collage d'images de plage |
|
J'aime que l'été ne sache pas que c'est son dernier jour, notion toute humaine et c'est génial d'avoir eu ce chemin de pensée.
le poème se lit vraiment bien, mais au fil des strophes, j'ai peut-être eu trop l'impression que ces clichés, je les connaissais déjà tous. Il m'a manqué que quelques-uns soit du genre un peu tordu, inattendu, pour romp... (18/12/2020) |
Bien ↑ |
Pouet : Ces mains qui tremblent… |
|
l'imaginaire quelquefois se fait paresseux, et les images sont à la peine.
Tout est dans la tête, mais elle devient une pierre lourde (ça, bravo !).
mais toujours une fraîcheur surgit, peut-être là où on ne l'attendait pas ?
le trou de la mémoire : que voilà une réappropriation intéressante !
Je trouve certaines images, ou tournures, ne co... (18/12/2020) |
Bien ↑ |
inconnu1 : Tu partiras ma fille |
|
c'est un poème plein d'émotion et un sujet qui touche beaucoup d'entre nous.
Même si je regrette un peu de n'en voir que le côté négatif, car si l'absence est difficile, imaginer une autre vie, de découverte, d'aventure, de réalisation de soi, est la contrepartie qui peut nous faire vivre cette absence plus positivement, le poème est bien mené,... (18/12/2020) |
Beaucoup |
RomainT : Il pleut |
|
J'aime ce poème par son rythme, mais surtout par la richesse de ses images.
Il y a d'excellentes trouvailles, très fortes en impact, comme par ex : des serrures moulées aux âmes des enfants. Dans une strophe magique, le plomb soudain fond sur ces âmes.
Tu es nouveau sur le site, j'espère qu'on pourra te lire encore, et aussi que tu viendras... (16/12/2020) |
Beaucoup |
Ombhre : Partage du soir |
|
Il y a une simplicité très touchante dans ce partage du soir.
Finalement rien d'extraordinaire, pourrait-on dire.
Sauf qu'n coucher de soleil, de l'herbe verte et des oies sauvages, il faudrait que l'on continue à y être sensible, qu'on en ait le temps...
Ce poème est une très belle halte.
Sur la forme, je regrette un peu les vers trop s... (16/12/2020) |
|