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Bien |
MissNode : En mémoire aux duvets – 3 |
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L'ensemble est une belle image, un appel à la tendresse.
J'aime beaucoup le II, je rejoins Eclaicie et me dis que tout aurait pu être épuré de la sorte.
Peut-être est-ce lié à un de vos souvenir mais la poignée de main du V ne m'évoque rien et semble incongrue.
J'ai apprécié les petites touches de sensualité. (24/7/2018) |
Passionnément ↑ |
eeeephmr : Huit heures [Sélection GL] |
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C'est un poème sobre, d'une grande simplicité. Son rythme, la répétition du premier quatrain me font beaucoup d'effets.
Le temps l'entraine à sa perte et il râle après. Déja huit heures.
J'adore.
Cela m'évoque l'excellente bd "Carmen Cru" une terrible petite vieille. (23/7/2018) |
Passionnément |
Cristale : Le ressac de l'amour |
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Je ne connaissais pas la callune, une sorte de bruyère sans doute assez présente sur la côte.
Votre poème d'une belle sensualité est fluide et agréable à lire.
Bravo (5/7/2018) |
Bien |
madawaza : Je t'aimeras |
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ah ah, il faut oser ce titre :-)
la construction de votre texte m'évoque "la prière" chantée par Georges Brassens,
"Par le petit garçon, qui meurt près de sa mère" ...
"Je vous salue, Marie" ...
et la partie positive
"Par la mère apprenant, que son fils est guéri,"
"Je vous salue, Marie"
laissant le coté religieux pour la passion d'un c... (5/7/2018) |
Beaucoup |
Cristale : L'aube sans sommeil |
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J'aime cet éveil en douceur et la venue du tendre balladin. Pas de mots compliqués une description un ressenti et cela fait son effet.
Bravo (3/7/2018) |
Beaucoup |
Alcirion : Fragment de la fin d’un hiver trop long |
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Même si j'imagine la lecture d'une voie triste, comme dans les saisons qui nous ramène le printemps il y a de l'espoir.
j'aime la simplicité de ce texte et les petites incertitudes. (1/7/2018) |
Beaucoup |
Cyrill : Question d'eau |
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J'aime la philosophie de la dame qui prend ce qui vient et offre beaucoup. C'est très agréable à lire et me rappel également Brassens dans "L'orage" ou "Le parapluie" avec des mots simples et de beaux moments de partage. (23/6/2018) |
Bien |
Cyrill : Parenthèse pieds nus |
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un texte qui parle de la liberté du pied nu, cela se paye
derrière il y a une expérience de vie le temps qui passe et ce que l'on en déduit, la sagesse de l'age.
de belles expressions comme "laissant à l’aventure l’art de la parabole." (22/6/2018) |
Bien |
Vincendix : Dans ses yeux d’émeraude |
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un vocabulaire tout simple pour l'évocation d'un paradis ou vient naitre le désir tout en douceur.
agréable à lire (16/6/2018) |
Beaucoup |
Miguel : Ballade des vendus |
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j'adore,
Ce texte fait bien le pendant à celui de cette chanson,
"Misère misère, c'est toujours sur les pauvres gens que tu t'acharnes obstinément" reprise par Coluche.
le premier vers "Pauvre fretin, qui sans le sou vivez,"
me rappelle cet homme politique qui parlait des "sans dents".
Ce texte est d'un cynisme terrible, il donne comme une ... (20/1/2018) |
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