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Beaucoup |
Ramana : Cailloux blancs, cailloux noirs [Sélection GL] |
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Très belle réflexion sur le passé, sur nos souvenirs.
Entre les cailloux blancs qui nous donnent du baume au cœur et les cailloux noirs qui l'ont fait saigner, notre existence est un tourbillon enivrant qui jamais ne faiblit !
Vous vous questionnez sur le devenir de ces instants, et je le comprends très bien.
Il me parait assez effroyable... (3/9/2016) |
Passionnément |
Cox : Ode à la paresse |
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Ce long poème traduit magnifiquement la libération intérieure, l'invitation au voyage et à l'imagination que seule la paresse peut donner !
Loin de nous abrutir dans une profonde lassitude, c'est la paresse qui élève notre âme vers les choses essentielles. Loin de la soumission au travail qui amène la fatigue morale et l'amertume, elle perme... (7/8/2016) |
Beaucoup |
Ramana : Chemin de terre |
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Magnifique transposition de notre destinée si particulière.
Elle est portée certes par le temps, mais aussi par le hasard qui fait bien les choses pour celui qui voit à travers la fenêtre de la cabane !
Heureusement que nous ne pouvons nous arrêter, pris par le courant malgré nos réticences.
L'eau croupit si elle stagne, elle émet alors ... (27/6/2016) |
Passionnément |
Lylah : Ils m’attendent |
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Vous avez écrit un poème magnifique, si simple et si puissant à la fois.
Un grand bravo et un grand merci pour cette oeuvre que je relirai sans doute encore et encore les jours où j'oublierais comment on pêche les étoiles. (10/5/2016) |
Beaucoup |
harrycover : Délicats coquelicots |
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Bonjour Harrycover,
Le coquelicot étant ma fleur préférée, je me suis tout de suite senti happé par le titre de votre poème.
Vous retranscrivez très bien ce que m'inspire ses pétales délicates, d'un éclat explosif dans la monotonie des champs elles sont comme un conte ou une chanson d'enfant, un instant de fraîcheur miraculeux dans la lass... (25/4/2016) |
Beaucoup |
Mourmansk : Je me souviens |
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Je me suis laissé tendrement embarquer par votre poème au cours de la première lecture, sans trop chercher à comprendre, à déceler, à décortiquer le sens profond de vos rimes.
Puis il a fallu que j'y revienne, ne pouvant supporter l'idée que quelque chose m'échappe, c’est là notre malédiction d'écrivain !
Mais pour cette fois, heureusement, ... (4/4/2016) |
Beaucoup |
bonjour : Onirisme |
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On se sent transporté immédiatement dans cette courte et intense aventure qui a l'intelligence de nous laisser imaginer le reste.
Je me suis vu aux côtés de la muse des océans ou de la muse des vents, sur terre ou en mer, voir les deux à la fois, car les herbes hautes secouées par les rafales ressemblent aux vagues déchaînées.
Le rêve a ce... (3/4/2016) |
Beaucoup |
Vincent : Alors tu pars |
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J'ai vraiment apprécié ce poème aux images touchantes, dans la joie comme dans la tristesse.
J'étais avec cet homme mélancolique, d'abord désemparé puis soulagé.
On s'accroche à tant de chagrins, de remords, de regrets, mais comme vous le dites le temps qui passe à le dernier mot.
Il nous pousse vers l'avant envers et contre tout.
Le c... (3/4/2016) |
Beaucoup |
madawaza : Vivre libre |
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Je suis d'accord, il faut vivre libre, c'est le seul moyen de sentir dans toute sa fraîcheur la beauté du monde qui nous entoure.
Certes l'ivresse de la liberté peut rapidement tourner à la gueule de bois lorsque plus rien ne nous émeut, quand le cœur se raidit, mais il faut être patient dans ces moments de détresse. Il viendra d'autres bonheur... (2/4/2016) |
Passionnément |
LEO-P : Le point d'orgue |
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La vie vaut la peine d'être vécue juste pour le point d'orgue, lorsque le feu rédempteur guérit enfin l'intense lassitude propre à notre condition d'êtres éveillés.
Pour atteindre "la lueur circulaire", il faut aller "au fond du noir tunnel", là où se termine le chemin de croix. Une fois au bout de toutes les souffrances, au sommet du Mont du... (31/3/2016) |
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