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Les évaluations de FIACRE

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Beaucoup Arielle : Baiser du soir
Ma préférence va toujours au texte court, le travail est difficile, exigeant. Comment en peu de mots donner l'essentiel au lecteur ? Comme ce texte, en allant droit au coeur. (21/11/2009)
Beaucoup Meaban : Canicules
La forme, en apparence simple, porte des mots techniques " créosote, éclisses " développant ainsi la métaphore filée du monde ouvrier en arrière-plan. Le souvenir, au fond, bat le rappel d'un univers perdu qu'on aurait bien vu illustré par le Tati de mon " oncle ". (8/11/2009)
Bien TITEFEE : La mendiante
J'ai toujours du mal à commenter un texte sur la misère, et davantage à y répondre. Je lis et je conserve des mots. (31/10/2009)
Beaucoup David : Sous-munition
" Dieu que la guerre est jolie " s'exclamait Apollinaire. Ici, la " jonquille ", fleur de sang détache cette description de son aspect sordide. Réussi dans la distance. (21/10/2009)
Bien Fanch : Je n'aime pas les vieux...
Réflexion sur soi sans pallier aux étapes de ce constat. J'ai bien aimé l'évolution de cette vie qui nous renvoie à la nôtre. (19/10/2009)
Bien wancyrs : Quelque part...
Une vision de nos délabrements qui ne peut que nous " parler " bien que sombre à en voiler l'horizon. (17/10/2009)
Bien ↑ thea : Libre
Un texte léger au-dessus des derniers beaux jours. On regarde glisser les presque disparus. Peu de mots essentiels. (16/10/2009)
Bien LeopoldPartisan : Capharnaüm ou le mimétisme de la métamorphose
Etrange univers, mais l'on ne peut plaindre le sort de l'homme. (16/10/2009)
Bien Meaban : Destins
Pour Brahms bien sûr et un rappel d'Apollinaire. Des accents très XIXème dans ce poème. (12/10/2009)
Bien ↑ Jules : Je fixe un ciel obscur tressé de lys noirs
Tout de suite m'est apparue la " douce Ophélie " ensuite je relis et reste sur le " ciel obscur tressé de lys noirs" je reste sur cette image assez forte pour m'emporter. (11/10/2009)
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