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Beaucoup |
MissNode : Déambulation |
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Un poème comme une invitation à une douce flânerie. On se laisse amener dans une promenade , un voyage pittoresque en compagnie des mots. Je relève comme Robot une dimension ludique et légère. La structure donne un rythme alerte et vif, qui évoque un peu le jeu surréaliste du cadavre exquis. Des images défilent, s’animent et donnent un éclat pa... (9/3/2014) |
Beaucoup |
MarieS : Irritabilité |
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Beaucoup aimé ces « images sans cadre ».
Des reflets qui pour moi sonnent juste, avec des accords précis et évocateurs.
Particulièrement pour : les parois de la nuit/ Le calcul des heures nouvelles, médiocrement prévisibles/ l'attente d'un festin épidermique/du sein, pressé sans en tirer aucun suc/l'outre-noir de la mysticité/ La viscosité d... (22/2/2014) |
Beaucoup |
lalalode : Oubliées, les valises |
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J’ai beaucoup aimé le début de ce poème. Instantané juste et précis. Des images simples, claires, se superposent et touchent.
La fin sonne comme un appel vibrant et sensible. Le rythme un peu lancinant nous entraine dans le sillage de ces pensées contradictoires et vagabondes. (15/2/2014) |
Beaucoup |
MissNode : Goût de la roquette : violet |
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J’ai beaucoup aimé cette ronde à deux temps. Pour moi, aucune sophistication mais des images qui convoquent les sens, vont droit au but.
Première partie, très enlevée, très visuelle.
Vrombissante, couleurs aiguisées, en mouvement.
Seul petit bémol également, comme Senglar, l’absence d’article qui me gêne un peu.
Deuxième partie, qui évoque p... (9/10/2013) |
Passionnément |
TristanHiver : Prophylaxie contre un horizon dégueulasse (Partie 2) |
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Mon commentaire ayant été modéré pour cause de nanisme, je reviens donc sur ce poème en essayant de mieux préciser. Touchée.
Par tous ces mots. Mais pour reprendre Pessoa :
« Il est si difficile de décrire ce que l'on éprouve, lorsque l'on sent qu'on existe réellement et que notre âme est une entité réelle — si difficile que je ne sais avec q... (20/1/2013) |
Bien ↑ |
MissNode : Souffles |
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J’ai bien aimé la balade et la relation très fusionnelle avec les éléments.
La nature et l’état d’esprit du promeneur semblent former un tout, on a presque le sentiment que l’un se déverse dans l’autre et vice-versa.
Un peu moins aimé ce passage :
De l'air
de la rivière
lequel souffle…
Je n’ai pas immédiatement compris à quoi « lequel » fa... (9/1/2013) |
Beaucoup ↑ |
Titato : En tout ce beau monde |
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Beaucoup aimé ce poème, avec ces étranges assertions qui déboulent sur un rythme hypnotique, lancinant, envoutant. Des images nettes et décalées. Poème taillé en facettes, multiples et touchantes. (15/12/2012) |
Bien ↑ |
Pimpette : Vivement lundi… |
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Un blues du dimanche bien réussi.
Des images sensibles et évocatrices pour ces heures si particulières.
Une seule image pas trop comprise :
« …Déboule la pente à tire-d’aile
Jusqu'à l'étal de minuit. »
Pourquoi l’étal ?
Beaucoup aimé : « mon stylo broie en noir
Une poignée de mots sur la page » (9/12/2012) |
Bien ↑ |
Lautre : Trois cent cinquante-cinq lettres |
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J’ai bien aimé. Pour moi il s’agit de l’évocation d’un simple moment de lecture avec tout ce qu’elle peut graver comme images et permettre comme voyage. Les reflets fugitifs d’une promenade à travers quelques mots (355 lettres donc) projettent de très sensibles instantanés. Une très intuitive interprétation de quelques signes. (28/11/2012) |
Beaucoup |
c-cil : 7 h 27 |
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J’ai beaucoup aimé ce minuscule voyage entre quotidien et évocation sensible d’un vingt & unième siècle très bien croqué. Les images captées me semblent très justes en particulier : « le vingt & unième siècle en marche clignote ». Les « quelques jeunes gens endormis – habillés de ville,
casque sur les oreilles – marchent vers un bus embué. » « ... (28/11/2012) |
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