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Bien ↑ |
David : Argentique |
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Je ne suis pas fanatique de photographie, mais je dois dire que ce sonnet est très bien troussé. Beaucoup d'images originales. Le premier vers est très joli. Les vers 9 et 10 sont vraiment très poétiques.
Je suis souvent agréablement surpris de voir de quel façon David traite des sujets en apparence banals pour en développer la dimension poé... (10/8/2009) |
Bien |
David : Pantoum du poisson rouge |
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Ce que j'aime dans ce poème, c'est essentiellement le choix de la forme fixe. Le retour des vers me fait en effet bien songer au mouvement perpétuel du poisson dans son bocal, tournant et retrouvant la position qu'il a abandonnée...
Métaphore d'un amour impossible, obsédant... Le poisson, il s'appelle Maurice ? (14/7/2009) |
Bien ↑ |
TITEFEE : Le pays de l'enfance |
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Que peu de temps suffit à changer toutes choses !
C'est à ce vers de Hugo que l'on pense, Titefée, en lisant tes vers empreints de douce nostalgie. Le regard en arrière est parfois source de grande désillusion c'est sûr. Oui, ces sentiments nous forcent à rêver, mais c'est aussi une source féconde d'inspiration. Le génie n'est-il pas l'enfanc... (3/7/2009) |
Bien |
Lariviere : Vingt-neuf Juin |
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Étrange, je n'arrive pas à trouver ça mauvais ou saugrenu, car je pressens pas mal de recherches tant au niveau des sonorités que des déconstructions grammaticales. Certaines images sont assez belles tout de même et faciles à comprendre : le ciel, un parpaing de sang appuyait, parpaing ; une main de fusain rouge fait écho à une main de douleur: ... (1/7/2009) |
Bien |
sentimentic1 : La glycine fanée |
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Un beau poème, mélancolique et tendre, à la manière de certaines oeuvres symbolistes. Je pense au poème de Verlaine Après trois ans où la description du paysage se teinte des humeurs du poète, tout en pastels et tons plaintifs. Très joli. (26/6/2009) |
Beaucoup |
Pluriels1 : Ange à demi |
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Superbe poème, errance aux bords des abîmes, le funambule des mots glisse ici sur le fil d'une poésie rythmée au cordeau. Le poète banvillien (c'est aux odes funambulesques que ce poème me fait songer) est en effet l'amant fabuleux d'une mort toujours en suspens, mais le balancier du vers le retient encore un peu, malgré le vertige qui l'éblouit... (24/6/2009) |
Bien ↑ |
Lariviere : Le sonnet du sonné |
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D'accord avec Notrac sur ni l'odeur du haschich, plus mélodieux et grammaticalement plus heureux. Pour le reste, j'ai bien aimé. Reprocher à ce sonnet son côté déstructuré est ici un non-sens, puisque le but est d'insister sur la déstructuration. La poésie n'est-elle pas une recherche permanente d'adéquation entre le sens et le son, la structure... (21/6/2009) |
Bien ↑ |
lotus : Vice et Verseau |
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Torride et ruisselant de beauté. Éros sue et s'en donne à coeur joie... Coquine, va ! (13/6/2009) |
Beaucoup |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 56) |
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Un superbe fragment , tout d'un seul tenant, probablement ton plus cohérent d'ailleurs (avec le 15). Le rythme est magnifique et les images toujours prégnantes. Une illustration, dans un souffle angoissé (mais l'angoisse n'est jamais loin avec Larivière), de la très fameuse phrase de Rimbaud : je est un autre. (8/6/2009) |
Beaucoup |
Pluriels1 : Ô Jongleur ! |
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Encore un poème comme je les aime, mélange d'érotisme subtil et d'hymne à la nature enchanteresse. Très beau. (6/6/2009) |
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