Les Évaluations de FredericBruls

Les évaluations de FredericBruls

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Un peu ↑	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 27)
	Sentiment mêlé à l'égard de ce fragment. De bons passages, une fin prégnante. (3/5/2009)
Bien	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 26)
	Un poème lapidaire, net, simple et beau. (3/5/2009)
Un peu	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 25)
	Oui, je vais te le dire franchement, Lari. Je n'ai pas aimé le second paragraphe à cause de son effet tunnel. Cette phrase est trop longue. Le souffle perdu, l'esprit s'égare et la magie n'opère plus. Je préfère mille fois (j'exprime mes goûts ; ce n'est en rien une critique), le style lapidaire, des phrases nerveuses, riches d'images serrées. i... (3/5/2009)
Bien	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 24)
	Nous avons un jour sans fin, inventé Dieu pour ne pas avoir à exister. Rien à rajouter. (3/5/2009)
Bien	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 22)
	Un chant à la fois brûlant et glacé. Que dire de plus. Difficile de se renouveler. Ah si peut-être, j'y ai trouvé comme un apaisement, un pessimisme moins rageur. (3/5/2009)
Un peu ↑	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 21)
	J'ai trouvé ce morceau moins magnétique que les précédents, moins gorgé de sève métaphorique. Surtout dans la première partie. Ceci dit, cet opus a le mérite de la clarté (si j'ose dire !). Critique de la société de consommation, qui nous vend des rêves et des voyages bon marché loin, bien loin, mais qui nous laisse en rade, nous, voyageurs de l... (3/5/2009)
Bien	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 19)
	Au début la nuit froide...puis la dernière phrase fulgurant comme l'éclair illumine tout de son souffle phosphorique. Les nouveaux bâtisseurs nous donnent, sans en soupçonner une seule seconde les conséquences d’hypothèques, une croissance de vigne vierge… (3/5/2009)
Bien	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 18)
	La lune hurle comme une louve pleine. Quel formidable rapprochement lexical ! C'est une de tes plus belles images je trouve. Elle me parle beaucoup. Le retournement des lexèmes est si évident et si parlant à la fois ! Le reste est à l'avenant. (3/5/2009)
Bien	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 16)
	D'accord avec le premier commentateur. Le coeur du texte est ici, géométrique et poétique (Lari ferait-il son Grec de service ? (lol), tout en allitérations de labiales sourdes et fricatives, implacables : L’homme est un mystique gonflé de flemme intellectuelle. Jambes raides et fourmillement des membres fantômes, morales désarticulées, d... (3/5/2009)
Beaucoup ↑	Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 15)
	Et bien, moi, je note ! Je considère ce fragment comme le plus complet, le plus cohérent et le plus riche de ce que j'ai lu pour l'instant. Tant sur la forme (éblouissante par moments, Ducasse n'est pas loin) que sur le fond (le pessimisme lucide). On ne va pas citer les trouvailles, il y en a trop ! Une remarque : L’ébriété s’en est allé... (3/5/2009)

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