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Beaucoup |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 11) |
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Voilà un fragment qui me parle. J'aime le thème et le ton du poème. La dernière phrase est superbe, mise en abîme de l'homme et de ses angoisses éternelles, malgré le piston du progrès fumant et fumeux. (1/5/2009) |
Bien |
Lariviere : Fragment de crépuscule (morceau 4) |
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Un éclair bucolique chez Larivière, comme un éclair dans la nuit. Une volonté de reprendre souffle, un orage bienfaiteur pour apaiser l'aridité de nos vies. Court, mais magnétique. (1/5/2009) |
Un peu ↑ |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 2) |
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le diable a perdu un œil
Tiens, aurais-tu inspirer Estelle ?
Blague à part, quelques bonnes formules (J'aime l'ennui et sa marée), mais celui-ci m'a moins parlé que le premier. Pas grave, suivant ! (1/5/2009) |
Bien |
Lariviere : Fragment du crépuscule |
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Ne reste que le salin amer des désirs.
En voilà un beau détail, pour reprendre le mot célèbre de Voltaire.
Rien que pour cela, je vais noter positivement ce fragment. Allez, je me suis décidé, comme Estelle, à lire tous tes fragments. Pourquoi ? Simple, pour goûter un puzzle, il est bon de mettre en place toutes les pièces.
Certes, nous... (1/5/2009) |
Bien ↑ |
David : Lassitude |
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Comme toujours avec David, on ne comprend pas grand'chose à la première lecture et puis, peu à peu, le sens perce une trouée dans l'obscurité du verbe.
Ne serait-ce pas un poème darwino-drolatico-pessimiste, comme l'évoque l'entame humoristique ? Dérive qui nous mène du singe à la bête à cornes de l'homo socialismus ?
Le second quatrain in... (30/4/2009) |
Bien |
Lariviere : Le Sourcier |
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Je trouve que ce poème un brin lapidaire résonne comme un écho lointain au fragment 54. L'idée de la quête d'une substance vitale, l'effort et la douleur qui l'accompagne. Il me semble percevoir un ton plus pessimiste dans la deuxième partie. Mais la métaphore rubis me donne quand même l'idée d'une transmutation de valeur. Enfin, c'est une intui... (29/4/2009) |
Un peu |
nico84 : Le fil du temps |
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Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. (Baudelaire)
Un thème classique, abordé sous la forme de calligramme (merci Appolinaire !). Un poème sans fioritures, simple à comprendre. (24/4/2009) |
Beaucoup |
Pluriels1 : Cendre Odorante |
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Je ne change toujours pas d'avis en te lisant. Il n'y a qu'un mince papier à cigarettes entre toi et Saint-John Perse. Même goût pour les impollués vocables, les allitérations suggestives, les néologismes raffinés, les ambiances tropicales et les langueurs océanes...
Ce n'est pas une critique, que l'on se comprenne bien ! Il faut un sacré tal... (24/4/2009) |
Beaucoup |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 54) |
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Le poète est un alchimiste de la douleur...J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or. (Baudelaire).
Ce fragment m'apparaît comme un de tes plus aboutis. Cohérence et justesse des images s'allient pour former un tout très harmonieux et dont le sens, à mes yeux, ne présente guère d'équivoque. Il s'en dégage une sorte de clair-obscur sémantiq... (23/4/2009) |
Beaucoup |
lotus : Entre deux draps |
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Lotus en pleine montée de sève...
Blague à part, c'est un très beau poème érotique, tout en pudeur, avec des images superbes et originales. La fin aussi, avec cette petite pointe ironique, me plaît énormément. (22/4/2009) |
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