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Les évaluations de Annick

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Passionnément Vincendix : Au magasin des sentiments
J'ai apprécié ce texte, avec juste une nuance qui est de taille : il n'est pas, pour moi, dans la bonne rubrique. Je le vois dans celle des chansons. Non pas qu'il ne soit pas écrit dans les règles du néo classique mais le thème et le traitement en est si léger qu'il me trotte déjà dans la tête comme une ritournelle entêtante et joyeuse. En t... (7/2/2020)
Beaucoup poldutor : Le rut
Impressionnant tableau de deux cervidés qui s'affrontent pendant la période du rut. Rien à dire sur le fond qui est une véritable toile vivante. C'est bien construit, le trait de pinceau habile donne vie à cette magnifique peinture animalière. Ce qui peut être encore amélioré, c'est la prosodie, mais je constate que par rapport à vos pre... (31/1/2020)
Passionnément Vincent : On court
Bonjour, Bravo à Nicolas qui porte le texte magnifiquement bien : très belle voix au timbre singulier, très belle interprétation. J'ai d'abord lu le texte et j'ai aimé le rythme, les phrases courtes. Ensuite je suis allée écouter la chanson, et là, le texte a pris, pour moi, toute sa signification, sa dimension : un feu d'artifice d'émoti... (24/1/2020)
Beaucoup Curwwod : Roz Ven
La seule chose qui me gêne dans votre poème, et puisque la narratrice est Colette elle-même, (ou le personnage qui est censé être Colette), c'est que je ne retrouve pas le style de celle-ci, comme dans "le blé en herbe". J'aurais aimé retrouver la propre voix de Colette. Vous allez dire que je vous en demande beaucoup et pourtant, c'est ce qui s... (20/1/2020)
Passionnément Michel64 : L'homme-oiseau [concours]
Un poème narratif comme je les aime où réalisme et poésie se mêlent harmonieusement, naturellement, sans ostentation. Rien n'est gratuit, pas de remplissage ou de mots fourre-tout qui veulent tout dire et ne rien dire. Ici, chaque mot, chaque vers, chaque strophe concourt à faire de ce poème une glissade merveilleuse "dans l'invisible soie". ... (21/12/2019)
Beaucoup ↑ poldutor : Nocturne sur la plage
La douceur veloutée, le frissonnement délicat du paysage deviennent, au fil des vers, une invitation plus intime, plus voluptueuse : D’une caresse intime Enlace les galets. Assiège le cromlech Semble en faire le tour. Le sable en poudre fine Si tendre sous les pas Aux amours clandestines Fait un lit d’apparat. Tout y est aérien,... (3/12/2019)
Passionnément ↑ papipoete : Je t'aimais
La gérardine convient particulièrement bien au déroulé du thème : le poème va décroissant : quintil / quatrain / tercet / distique / monostiche, tout comme va s'amenuisant le fil qui retient à la vie "votre tendre amie". Les deux premiers vers donnent le ton. Le poème sera fondé sur une dualité : enfermement et souffrance du corps en opposit... (2/12/2019)
Bien ↑ SQUEEN : On oublie la fête
Je suppose que le narrateur a assisté à une fête mais le terme reste vague puisqu'il n'est pas dit de quelle sorte de fête il s'agit. Après les festivités, il se retrouve face à sa solitude, à son mal être, sa lassitude, sa fatigue et sa tristesse au point de penser à en finir avec la vie. C'est le désenchantement fatal, l'instant qui bascu... (10/11/2019)
Beaucoup ↑ papipoete : Nichée
D'emblée l'auteur dit être le narrateur, dans l'exergue. Ce qui m'a interpellée, c'est le parallèle constant entre les oisillons et les enfants de celui-ci : D'abord, le choix d'accrocher la maisonnette atypique au portique des enfants, et non dans un arbre quelconque. Ensuite, ce vocabulaire qui convient aux bébés comme "langes" ou lorsqu... (10/11/2019)
Beaucoup ↑ Cristale : Viendrez-vous en septembre ?
C'est une invitation à découvrir le pays du granit, des rochers aux couleurs changeantes mais aussi celui des sentiers bordés de plantes, de sources fraîches. Une invitation à rêver, pour s'évader à deux. Le pronom personnel "nous" sollicite le lecteur dans ce sens. Nous irons sur la dune, Oubliant les saisons, Regarder la fortune D’infini... (9/11/2019)
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