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Passionnément |
Francis : Jours d'après |
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Bonsoir Francis,
N'en écrivant jamais parce que je les trouvais trop souvent courts et simplistes, je ne m'intéressais donc pas aux sonnets. Mais là, vous avez radicalement viré du cap de mes préjugés.
Je ne connais pas un homme de mer qui serait insensible aux chuchotis de cette complainte exhalée de votre texte. Votre "pinceau" ne colorie pa... (14/1/2017) |
Pas |
entexte : Dans tes yeux noirs |
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Bonsoir,
Dans ces yeux là, ce n'est pas très lumineux pour moi : "comme un poisson INLASSABLE" ; "il y a mon cœur DANS l'hameçon", puis le cœur qui revient comme une boussole.
Là où je décroche vraiment c'est devant cette tournure : "il y a ton regard comme un militaire dans une bataille ; il y a un verre d'eau, un quignon de pain et un mantea... (14/1/2017) |
Pas |
dom1 : Manque… |
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Bonsoir Dom1
Ce texte me fait irrémédiablement penser à une certaine forme de peinture impressionniste : le tachisme. Malheureusement, il n'y a souvent que le créateur de l'œuvre qui arrive à la comprendre.
"Fantaisies en arêtes coupantes sur le fil de l'absence qui, par tous les pores de ma conscience, distille son poison en fines particules ... (14/1/2017) |
Beaucoup |
archibald : Une part d'humanité |
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Ca démarre très fort : "J'avais pour méditer un crâne, une bougie, dans un réduit battu par le vent des hivers, et je voyais danser à la flamme rougie...". ; j'aurais préféré à la fin du premier strophe "Et chacun d'entre nous SA part d'humanité". Mais il aurait fallu recomposer la fin du 4ème strophe pour ne pas répéter le même pronom possessif... (7/1/2017) |
Beaucoup |
Vincendix : La pie, le corbeau et le rossignol |
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J'aurais adoré votre fable si elle ne s'était tant inspirée (sur le fond et sur la forme) des fabliaux moralistes, souvent en rimes croisées, de La Fontaine, avec une prosodie parfois mal respectée. Mais l'ensemble est cohérent et les sonorités plaisantes, à part le dernier vers "ne voulant partager la grappe de raisin". (7/1/2017) |
Beaucoup |
Lyl_mystic : Yeux lourds |
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Titre judicieux, superbe versification. Images fortes avec des mots simples et justes.
"J'étais ce pantin gris dans un carton de lune
Courbé et solitaire aux rêveries sommaires" souffre à mon sens d'un manque de ponctuation qui peut altérer le sens. C'est le seul bémol d'un texte très équilibré.
Au plaisir de vous lire. (6/1/2017) |
Bien |
Fatysky : L’asphalte glacial |
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Ce qui rend ce texte plaisant, c'est son originalité. Sa concision souligne bien l'esprit de solitude et de muette contemplation qui pousse à la méditation philosophique dans un MacDo. (3/1/2017) |
Un peu |
luciole : Crépuscule |
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Ce texte démarre un peu comme un roman noir, avec une introduction angoissante, mais qui ne va pas crescendo. J'ai parfois du mal à suivre la ponctuation : "A pas comptés, le soir, austère et digne prêtre, dans sa noire chasuble..." qui peut interférer sur l'interprétation réelle du texte.
"Les trottoirs ont un air lugubre et menaçant : le faub... (3/1/2017) |
Bien |
Robot : Un naturel grognon |
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Sujet grincheux mais texte harmonieux ! On se gargarise de ces saisons presque humanisées" en voisinage indélicat.
Un bémol : est-ce bien la nature qui est en décalage par rapport aux saisons et non l'inverse ? "Au diable la nature jamais au diapason, en avance, en retard au mépris des besoins, sans respect des saisons".
Par ailleurs, le ter... (3/1/2017) |
Pas |
JulienAyme : Oradour |
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Désolé, mais je n'adhère pas. Une description floue, des termes généralistes (ruelles anciennes, portes cochères, secrets éphémères, passant solitaire, cœur de chair, bouffée d'éther, colère, pierre, passé, justice, autrefois.....)
Je marche dans les ruelles de n'importe qu'elle vieille ville et rien ne se démarque, rien ne saillit, même pas un... (26/12/2016) |
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