Les Évaluations de lucilius

Les évaluations de lucilius

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Pas	RuedeC : Camden
	Primo, pour moi le titre n'apporte rien car je ne le trouve pas en adéquation avec le sens du texte. Secundo, le texte débute par une situation de lieu qui n'influe nullement sur son contenu ; d'où la question de l'intérêt ? Tertio, quel est le rapport entre les deux premières strophes et le dernier tercet ? Je nage en plein brouillard (lon... (22/4/2019)
Pas	PierreM : Les draps ont tenu
	Entre le fauteuil club, le lustre baccarat, le plafond, le parquet, la charpente qui résiste à un surpoids de 51 kilos pendant au bout de draps qui tiennent bon, on se dit que la pendaison est le moyen le plus aléatoire pour mettre fin à un désarroi amoureux. Tout cela est bien confus et décrit sans aucun appui de prosodie. Au final, de la prose... (22/4/2019)
Un peu	VictorO : Chatouillées par la brise
	Une idée originale mais un texte très épuré sans réelle touche poétique, quoi qu'en dise l'incipit. Quant à comparer le comportement de l'être humain avec une paire de chaussettes, on peut en rire ou bien pleurer. (22/4/2019)
Beaucoup	pieralun : Casamançaise
	J'aime la sobriété de ce texte pour évoquer la pauvreté et ses déviances, qui ne sont hélas pas endémiques aux pays africains. La Casamance n'a heureusement pas que des attraits sexuels. Un regard orienté dont l'acuité permet de percevoir de jolis arrière-plans. (21/4/2019)
Beaucoup	Davide : La tonnelle fleurie
	De la belle ouvrage, avec une construction originale des rimes entre chaque strophe. Un tableau que les yeux contemplent et recontemplent sans métronome du temps. (13/4/2019)
Pas	Anje : À la forte marée
	En règle générale, lorsque se présente une nouvelle toile "marine", mon œil devient perçant, mon appétit s'aiguise et tous mes sens sont en éveil. "Les rouleaux furieux, Les badauds curieux, le bateau glorieux" initient des strophes pleines de promesse. Oui mais ! - Les rouleaux furieux cabrent sous la falaise : il faut m'expliquer comment il... (13/4/2019)
Un peu	gilles50 : Pour toi
	Déclaration d'amour fraîche et "juvénile" qui semble écrite à l'adolescence. C'est mignon si l'auteur a 15 ans, un peu moins sinon. Compte tenu de l'incipit, la première hypothèse est proscrite. Je reproche donc une écriture scolaire, un peu stéréotypée. (13/4/2019)
Un peu	Didadou : De la terre, de la poussière
	Je ne doute pas que l'incipit oriente fortement vers l'indulgence, voire la générosité. Pour ma part, je reste assez circonspect sur la chronologie de ces métamorphoses qui redeviennent antichronologiques et que confirme la deuxième partie, trop énumérative. L'écriture compense quelques erreurs de sens. (12/4/2019)
Un peu	Mome : L'enfant de Satan
	Je ne suis pas certain que classer ce texte dans la catégorie chansons et slams soit judicieuse ou bien le rythme musical doit être très décousu. Un thème fort mais qui ne se démarque pas des multiples versions tant et tant médiatisées. Le titre est certes accrocheur mais le texte en dessous et pour le fortifier, un peu de concision lui aurait é... (12/4/2019)
Un peu	Stephane : Triptyque
	triptyque de convalescence qui, pour moi, n'est pas dans l'ordre, la douleur étant le plus souvent ressentie avant la peur. Quant à la strophe consacrée à l'espoir, j'ai du mal à comprendre ce que l'imparfait fait dans un présent "futuriste". C'est dommage car la plume est agréable. (8/4/2019)

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