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Pas |
apierre : Retour à la villa |
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Ce texte me paraît très paresseux et l'on retient davantage l'assiette que la villa. Tout cela manque un peu (beaucoup) d'ingrédients et me laisse sur ma faim.
L'incipit "des mots simples pour une villa" aurait tout aussi bien pu être "des mots simples pour la côte, ou des placards, ou des souvenirs, ou encore des assiettes…".
Au final, il y a... (24/2/2019) |
Bien |
MichelPierron : Vos mains |
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Que de qualificatifs pour ces mains aux mille pouvoirs, aux mille vertus ! Qui ne les convoiterait pas ?
Ce texte est écrit avec douceur, simplicité et affection, sans artifices littéraires.
Suave et reposant. (24/2/2019) |
Pas |
michelg : Médium marabout |
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Il est dommage que vous citiez in fine de votre texte Nostradamus dont 80% des prédilections se sont (jusqu'à présent) avérées exactes, et l'assimiliez au monde du charlatanisme. Le chaman, le mage, le médium etc... n'ont ni la même culture, ni les mêmes pratiques.
Cette chanson qui se voudrait légère et humoristique est surtout pleine de caust... (24/2/2019) |
Pas |
Coralie : Une larme |
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Je ne parviens pas à facetter cette larme des sentiments qu'elle est sensée transmettre, surtout quand des branches de lilas ou boules de mimosas sont appelées en renfort de séduction.
La cinquième strophe se noie dans des adjectifs sirupeux (subtil, délicat, précieuses, envoûtantes, capiteux, délirantes).
Une "distillerie" qui me laisse un p... (20/2/2019) |
Pas |
Arthaume : Le soleil des soirs |
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Avec un tel titre, je m'attendais à quelque chose de percutant, capable de briser toutes les conventions.
Hélas ! L'histoire alambiquée ne décolle pas et les strophes l'affadissent avec des tournures, des conjugaisons et des ponctuations fantaisistes.
Exemple 1 "Où les rues éclaircies par la clarté des âmes Enivrées par l'ardeur des nuits, som... (16/2/2019) |
Bien |
arigo : Ma brune |
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Comme s'arrondit le croissant de lune, s'arrondit le ventre de ma brune. Déjà petit, cette forme lointaine m'émerveillait. Aujourd'hui, toute proche, elle sublime ma nuit.
Quelques reproches déjà relatés dans des commentaires précédents qui ne nuisent pas à l'agrément général. (9/2/2019) |
Pas |
Amandine-L : La fin du rêve |
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Dans ce texte minimaliste à souhait, j'aurais plutôt titré "l'ouverture" que "la fin d'un rêve" dont le contours paraît bien vague.
Des vers d'un mot pour la plupart trop peu démonstratifs pour capter mon attention.
Je trouve l'écriture de cette "poésie" très paresseuse. (9/2/2019) |
Un peu |
Vincente : Cette langue d'eau |
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Cette logorrhée cérébrale joue bien son rôle dans l'épanchement de l'absurdité et l'extraction des mots pour ne rien dire. Malheureusement pour l'auteur, je n'en suis pas adepte, y trouvant plus d'opacité que de transparence.
Visiblement, pour moi, le vent n'a pas soufflé dans le bon sens. (27/1/2019) |
Bien |
Sarah_K : Le pont |
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Un petit "couac" de prosodie dans la 2ème strophe de cette poésie par ailleurs bien équilibrée.
J'ai surtout apprécié l'apaisante fluidité de la toute dernière strophe. (27/1/2019) |
Un peu |
Castelmore : Comment ? |
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Ce texte me rappelle un peu la ballade des pendus de François Villon sur l'expression lyrique.
Le point d'interrogation directement après le mot "Comment" d'introduction, qui pourrait aussi bien être adverbe qu'interjection, et repris plus loin, me gêne.
Blasphémer les dieux est pour moi incorrect : on blasphème contre une religion, contre l... (27/1/2019) |
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