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Un peu |
LilyG : Bal sous marin |
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Pour qui est totalement néophyte des fonds sous-marins (même télévisuels mais là j'en doute !) ce "bal" peut à la rigueur faire son effet. Je lui reproche de ne rien transmettre de plus qu'une innocente admiration que n'importe quel enfant peut ressentir devant un aquarium. Je suppose que les fonds polynésiens sont tapissés de flore et de faune ... (10/12/2018) |
Bien |
Kirmas : Pavé gris |
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Pas facile de donner vie à un pavé frappé d'immobilisme. Reste à lui implanter quelques organes et le tour est joué. De la douceur musicale de la pluie au rythme effréné de la circulation, en voici un doté d'états d'âme. Amusant, mais un peu trop concis à mon sens. J'aurais aimé plus de péripéties. (9/12/2018) |
Un peu |
LenineBosquet : Un flux, des flots |
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Une baignade méditerranéenne qui invite à la détente et, pourquoi pas, à la romance. Malgré le titre "Un flux, des flots", ça ne bouge pas beaucoup et l'ensemble manque de relief.
Une remarque dans la dernière strophe : si au loin, sur l'horizon, un enfant fait la planche (et non fait de la planche), cela veut dire qu'il nage sur le dos. Dès l... (9/12/2018) |
Beaucoup |
Hiraeth : Sonnet de la fin du monde |
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Dieu parle à l'homme ou la colère de Dieu ! Quelle déception son grand ouvrage, sa monumentale création ! Il en faudra quelques révolutions planétaires pour recréer différemment. Cela sera-t-il mieux pour autant ?
En attendant, n'en plaise à Dieu, Adieu !
Sobre et efficace. (9/12/2018) |
Un peu |
Kherza : Souviens-toi |
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Texte beaucoup trop long sur le sempiternel sujet du respect de la vie (Prends la vie comme elle vient et respecte là, car elle est beaucoup trop courte pour être gaspillée).
Malheureusement, je ne puise pas les éléments contradictoires suffisamment argumentés pour parvenir à me convaincre du bien-fondé de cette longueur. (9/12/2018) |
Pas |
MFAYARD : Barbarie |
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Je suppose qu'il est fait référence au massacre des Tutsis par les Hutus au Rwanda. Ce génocide est le troisième cas reconnu par la communauté internationale. Dans cette configuration, je trouve les expressions un peu timorées et la dernière strophe y ajoute son pâle mélo, comme un copier/coller de reportage télévisé qui n'est plus d'actualité e... (2/12/2018) |
Beaucoup |
Raoul : La nuit se tient en sentinelle [concours] |
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Concis et puissant. Des images fortes et, pour reprendre un slogan invariable de Paris Match : "Le poids des mots, le choc des photos". (1/12/2018) |
Pas |
toc-art : Ce matin comme hier [concours] |
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Quantité ne signifie pas qualité. Nous sommes ici dans l'exposition d'une situation de guerre ordinaire qui, malgré une vague allusion à l'armistice en fin de ce texte bien trop long, est en fait intemporelle. Il y a un peu de supercherie dans la démarche. Je me demande si dans le choix des prénoms très "ruraux" l'auteur ne s'est pas inspiré d'... (1/12/2018) |
Bien |
emju : Voyage au bout de la nuit |
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Je puise beaucoup d'amour et d'émotion dans ce texte, avec en prédominance une quête vers l'infini "de l'amour éternel d'une fille pour sa mère".
Quelques expressions ressassées comme "me baigner dans l'eau de tes yeux", "respirer ta bouche" mériteraient d'être reformulées. (30/11/2018) |
Un peu |
Marc-Antoine : Les violons d'Aspicientis |
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Je reconnais volontiers une écriture fluide, aérée, plaisante, mais je n'y retrouve pas la Provence de Jean Gionot ou de Marcel Pagnol ou d'autre encore et cette ballade dévie trop des garrigues, des micocouliers, des stridulations des cigales, des bouées de lavande, des amandiers sauvages, des chants pastoraux, de l'écho cristallin des cours ... (30/11/2018) |
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