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Les évaluations de Garance

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Beaucoup ↑ Reggio : À Celles qui dorment avec Celui qui ne dort pas
Un texte qui fait mal et que je vais avoir beaucoup de difficultés à noter. Un homme qui ne parvient pas à aimer les femmes qui ont croisé sa vie...une fêlure trop ancienne pour qu'aucune ne puisse la colmater. Un rejet qui ne concerne que la personne et non l'autre, et pourtant c'est l'autre qui le prend en plein coeur. Un appel et une répu... (26/3/2010)
Bien ↑ belaid63 : À tâtons
Un rythme perceptible qui ne s'essouffle pas. Une danse où l'on ne sait lequel des deux est non-voyant. Il y a comme une confusion bien transcrite. " Tes doigts sur mon corps / Arpègent nos espérances / Pour que s'enlacent, / A l'infini, / Tango-tempo, / Nos souvenirs." (26/3/2010)
Bien irisdenuit : Au bord du « Nous »
J'aimais tant le précédent poème ! Je le reconnais ici et il me reste sympathique, mais comme il est regrettable de l'avoir modifié ! Il parle d'une rupture avec des intonations plus ordinaires. Visuellement, la ponctuation découpe les vers de façon plus convenue. Un poème qui reste bon, mais a perdu en élégance. (26/3/2010)
Bien ↑ Fanch : Ne le dis à personne...
Je trouve l'exercice réussi ! Pas évident de construire un poème porteur de sens avec tant de titres. En plus il y a un rythme nettement perceptible à la lecture de ces alexandrins. (23/3/2010)
Bien ↓ LeopoldPartisan : Éparses Éparges
J'ai lu plusieurs fois ce poème ; il reste encore obscure, partiellement. Sans doute garde t-il des zones d'ombres pour que le lecteur puisse se faire une mise en scène perso, mais j'aurais préféré avoir plus d'indices. (18/3/2010)
Bien wancyrs : Laisser aller
La forme de cette poésie me plaît. Retourner sur le passé, et ressentir les mêmes douleurs ; d'où la répétition de" Laisser aller". Il y a comme une lutte entre des souvenirs qui remontent et le conscient qui les refuse...cette lutte devient douloureuse pour le lecteur également. Les derniers vers rassurent, de par leur présentation en signe ... (13/3/2010)
Beaucoup ↑ irisdenuit : Refleurir la gerbe du temps
Un poème tout en douceur, la couleur sépia lui va bien. Je n'aime pas trop le qualificatif "vieux" - c'est ma seule réserve - mais il n'y a rien de méprisant dans ce poème. Ce terme devient dans ces lignes signe de tendresse. Je complète mon commentaire par les expressions-douceur qui disent combien nos aînés éveillent un sentiment de compass... (8/3/2010)
Beaucoup colomba : T'as d'beaux yeux tu sais !!!
Un poème écrit dans le flux des sentiments. L'autre est source qui s'ignore, il est l'air "charmant" qui emplit nos poumons, l'impalpable qui a pris corps et auprès de qui la conscience d'être s'éveille. J'apprécie ce poème où l'on sent ce transfert d'amour et de force entre deux êtres qui se trouvent. Un amour sublimé, mais dans le sens de l... (8/3/2010)
Bien ↓ Brisemarine : Invitation à la vie
Des mots bien pesés pour dire le chagrin et la souffrance. Le style néo-classique ne laisse pas entendre néanmoins l'appel au baume, le désir de jours meilleurs. Je me suis arrêtée à "ton épouse flétrit". Se flétrit ? (6/3/2010)
Bien ↑ TITEFEE : Voulez-vous Marquise ?
Un sonnet qui me paraît bien troussé, aux alexandrins élégants. Un poème classique au ton léger. (27/2/2010)
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