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Passionnément ↑ |
papipoete : Comme « au tour d'abandon » |
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Un beau jour ou peut-être une nuit
ces enfants ses souviendront par brins
de ce nid entre deux sanglots
où leur cœur battait à l'abandon
J'ai connu un peu, refoulé tout au fond...
Les parents ne sont pas toujours des "Thénardier", ils ont leur histoire, leurs coups muets aussi.
Très beau poème papipoete. Triste, léger comme une aile ... (12/10/2020) |
Bien |
Miguel : L'enfant qu'on m'a volé |
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Bonjour,
"L'enfant qu'on m'a volé"
Je dirais l'enfant qu'on a volé, volé de sa vie.
Avorter pour des raisons de confort, alors que le papa est heureux de l'événement, qu'il pourrait épauler la maman, à notre époque, c'est...
Ce poème fait de la peine. Cette petite lumière aurait grandi, la maman je ne sais pas. Avec un papa heureux, la vie... (23/9/2020) |
Passionnément |
Provencao : Le frisson |
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Bonjour,
Les nuages d'hier s'effacent, se colorent de cet azur du matin.
Ce matin balbutie, dentelle, chuchote, se colore.
Comme un baume sur "les nuages en proie d'hier".
La beauté apaise, "irise d'effacement".
"Les fragiles" s'habillent de légèreté, ôtent leur poids.
Un poème comme une toile d'araignée, fragile, délicat, lumineux. (23/9/2020) |
Beaucoup |
rosebud : Tuer le temps |
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Bonjour,
"La ville redevenue la ville et le charme est rompu".
Peut-être qu'au début le décor semble camper un village par l'idée de l'ennui qui traîne. L'homme se sent emprisonné dans ce "village" sans lumière, qui ouvre sur le néant.
Avec les néons crevés et les filles de joie, il Paris reprend son air de ville, l'impression du village s'... (22/9/2020) |
Beaucoup |
Castelmore : Souvent |
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Bonjour,
L'enfant qui est en nous ?
Notre âme n'est qu'une, la vieillesse et l'enfance y logent.
Dans ce poème j'ai imaginé l'enfant crier à l'intérieur de l'adulte car il a cassé ses jouets : ses rêves.
La peur, les chemins plus faciles, le hasard font que l'avenir ne ressemble plus à ce qu'il rêvait d'être.
L'enfant est sage, il croit s... (19/9/2020) |
Beaucoup |
Lariviere : Les jours jaunes |
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Bonjour Larivière,
La tristesse en boucle. Elle étrangle même la beauté d'une fleur. Peu importe si le ciel semble bleu, le cœur est en hiver, il manque LE soleil, il manque les ailes.
Plus rien ne se ressemble sans la présence de l'autre. Tout est insipide, aphone, délavé, jauni. Les mots n'ont plus de souffle, mais il en faut si peu pour t... (17/9/2020) |
Passionnément ↑ |
Davide : Ce soir... |
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Bonjour,
Des vers qui font renaître, des traces à l'encre noire sur un nid de feuilles, ils font des ailes d'une blancheur d'ombre, et prennent leur envol.
On les entend bruisser à travers vos mots.
C'est délicat, pudique, léger.
La forme est belle, de l'espace entre les quelques mots, pour respirer, s'évader. (10/9/2020) |
Bien |
Melorane : Double sens |
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Bonjour Melorane,
Un exercice réussi, en petites touches de poésie et mots équilibristes.
Pour moi la lecture est compliquée, les espaces trop grands, le sens s'y échappe. Il faut revenir sur les mots, l’œil a du mal à se poser, et finalement je ne retiens pas trop l'image. Un peu comme lorsqu'on regarde à travers des jumelles, ça sautille.
... (9/9/2020) |
Passionnément |
Lulu : Les embruns |
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L'imaginaire traverse les murs et prend le large, léger comme les embruns.
Une belle construction.
Les deux premières strophes nous installent comme à la fenêtre. Panorama grand large, et vaguent les images.
Puis chacun flotte au gré du souffle des mots, selon sa nuance.
On s'abandonne, on dérive en quittant la rive.
Subtil, aérien, sou... (24/8/2020) |
Passionnément |
Davide : Langue de taire [Sélection GL] |
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Langage du cœur qui fleurit et ombre.
Sans alphabet, intemporel, les images rayonnement, ruissellent, tonent, s'évaporent.
Langage transparent, flottant.
Léger comme un nuage, comme un passage sur terre. Juste une trace dans le sable ou dans le ciel. Comme un fantôme la pensée erre, traverse les sons les pays sages. Elle écoute pour bruire... (24/8/2020) |
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