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Bien ↑ |
Melusine : Rêve d'absolu |
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Bonjour,
Un pommier et le fruit défendu.
La quête du bonheur absolu où la lumière dessine l'ombre au plafond, comme un mauvais présage
.
"Nos pas serpentent désormais loin du verger".
Le bonheur est-il inatteignable ? Entaillée par la pomme croquée jadis ?
Une belle image reliée à cette histoire de paradais, qui pour moi n'est qu'une f... (2/3/2018) |
Beaucoup ↑ |
troupi : Petit |
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Bonjour,
"Vagues de soupirs, pluie traversière, musique d'eau" (flûte traversière) : le murmure de l'arbre à nos oreilles.
Il roule , il pousse, il chante, il vit, il aime la caresse du soleil et de la pluie, il dort.
Et il réconforte de génération en génération de son ombre gigantesque.
J'aime les arbres et j'aime vos mots.
Merci. (2/3/2018) |
Passionnément |
Goelette : À elle |
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Bonjour,
Flocons, perles... pour la douceur.
tresser, mousselune, repriser, pour la délicatesse.
Et la vie que l'on plie, que l'on range au placard. La porte de l'enfance se referme, pour la tristesse.
C'est tendre, mélancolique et d'une jolie tristesse.
Chaque strophe m'a enchantée. Les mots sont légers, apaisants. Ils créent de ma... (28/2/2018) |
Passionnément |
Amandine-L : La rencontre |
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Bonjour,
Comme dans un souffle les mots se dessinent à peine.
L'émotion est palpable, mais si légère qu'il ne faudrait pas l'encombrer de mots.
Frisson, caresse, désir, souffle, soie, douceur.
La parole dort, comme le silence est d'or.
J'ai aimé cette délicatesse des mots effleurés. (20/2/2018) |
Beaucoup ↑ |
hersen : La chaise |
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Bonjour,
Étonnant.
Toute la tension est figée sur cette chaise d'acier froide et grinçante, de skaï collant à la peau.
Elle "s'empreinte" de la mémoire, puis, le dossier classé, oublie.
Violence dans les mots de l'interrogatoire comme une seconde agression, un déni.
La femme apparaît ainsi comme invisible, incomprise, invisible.
A... (14/2/2018) |
Un peu |
Raoul : J’arrête |
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Bonjour,
Alourdi par les images culinaires.
Je ne trouve pas l'ensemble très musical.
L'idée est cependant intéressante. (14/2/2018) |
Beaucoup |
Vincendix : Cupidon mon ami ! |
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Un cœur emmental plein de trous de bonheur, et un cœur d’artichaut qui n'a pas goût de vinaigre, mais plutôt de miel.
Un poème frivole qui papillonne.
L'amour est une plaie couleur de rose.
Les épines comme les flèches de Cupidon.
Merci pour ces jolis mots couleur Saint-Valentin. (9/2/2018) |
Beaucoup |
Arielle : La giguedouille |
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Bonjour,
J'ai beaucoup aimé " nouant avec un arc en ciel - le bouquet de les ritournelles".
Le rythme est joyeux et entraînant. Au fil des expressions connues on savoure ces pas de danse, cet élan de vie.
Merci pour cette lecture qui fait du bien. (5/2/2018) |
Beaucoup |
MissNode : Poète éperdu |
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Bonjour,
" L'âme éperdue, à plume perdue, la Muse en peine, l'âme en peine" est une belle astuce. On sent le brouillard de la Muse, elle tourne en rond.
"des assortis de mots nouveaux" est un peu lourd.
"de tous les carnets cahiers livrets feuilles volantes reliures." Comme un puzzle de mots rapiécés sur le vieux tissu.
Le dernière s... (19/1/2018) |
Bien ↑ |
Blyne : Éternelles éphémères |
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À la lecture de votre poème j'ai d'abord pensé à l'évocation d'un deuil.
Deuil d'un être cher semblable à la perte d'une étoile.
Une étoile morte continue de vivre tant que nous la voyons, tant que nos pensées l'imagine. Lorsqu'elle s'éteint définitivement à nos yeux, c'est une deuxième mort, celle de l'oubli. Une trace éphémère, orpheline, ab... (15/1/2018) |
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