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Les évaluations de NICOLE

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Bien Fanch : Avoir tant oublié...
Il y a quelquechose de fané et de désuet qui évoque l'extrème vieillesse, et qui à ce titre s'accorde à merveille avec le sujet. Le rythme et la progression du poéme m'ont également fait penser au chemin de vie des humains, dont on sait bien où il nous amène. C'est très noir et amer, comme le sujet. (31/12/2009)
Beaucoup ↑ thea : Le silence sur les toits
Un mélange de force et de pudeur. Quelques traits à peine esquicés, et pourtant tout y est, même ces blancs entre les mots dits, qui laissent toute la place dont le lecteur a besoin pour y glisser ses rêves. Quand je serai grande, je saurai faire ça... (27/12/2009)
Bien ↑ Automnale : Vivre avec toi, je ne puis
C'est très beau, et pourtant, une chose n'a cessé de gèner ma lecture : "vivre avec toi, je ne puis", comme un refrain précieux, qui jure presque avec la beauté simple du reste du texte. Il y a quelquechose d'artificiel dans l'usage du temps, qui nuit à l'impression de sincérité qui se dégage du texte, presque une recherche d'effet, dont les f... (27/12/2009)
Bien irisdenuit : Le chemin du vivre
Une succéssion de très belles images (en particulier les deux derniers vers, qui servent aissi d'accroche). Il s'en dégage une impression de renouveau, de printemps, presque de retour à la vie. J'ai aimé le sentiment de paix qui s'en dégage, même si le poéme aurait à mon sens mérité d'être développé davantage. (27/12/2009)
Pas LeopoldPartisan : Anorexie
Une structure très épurée, probablement pour mieux coller à l'idée de maigreur extrème. L'ennuie, c'est qu'à vouloir trop alléger...il arrive qu'on se déleste de l'essentiel. Je ne trouve pas de poésie dans ce poéme là, et pourtant ça n'est pas lié au choix d'un sujet violent (penser à relire "La ballade des pendus" de Villlon). Je ne parviens... (15/11/2009)
Pas dany67 : Calme !
Franchement, j'estime ne pas connaitre grand chose à la poésie. Je crois que j'en attend surtout de la musque, et là, j'ai eu beau tendre l'oreille, je n'ai rien enttendu. Désolée, peut être une autre fois. (18/10/2009)
Bien ↑ Automnale : La chanson des oyats
J'essaierai de me souvenir de ce vers tellement bien trouvé : "Le rire éternel des amants nauffragés". J'ai pensé à l'atmosphére propre aux romans de Sylvie Germain, à la prose tellement proche de la poésie. Juste une remarque, mais qui n'engage que moi, le choix du passé simple me gène, il confére au poéme une grandilloquence qui me parrait nu... (11/10/2009)
Beaucoup colibam : Il y a des jours où l'on pourrait presque...
Une jolie promenade au milieu des fougéres, où on se laisse guider sans effort. Les souvenirs s'égrennent avec grace. Il y a ici le charme des non-dits et des peut-être, celui des choses que l'on n'oublie d'autant moins qu'on ne les a vécues qu'en imagination. Merci (4/10/2009)
Bien ↑ Garance : L'enfant musicien
J'ai noté le très joli : "femme je tremble pour cet enfant..." Ensuite, je n'ai eu aucun mal à embarquer...de jolies images, et beaucoup de musicalité. Merci. "La main qui sourit" m'a tout de même laissée un peu dubitative. (4/10/2009)
Beaucoup thea : Libre
C'est très doux, et extrémement musical, les deux derniéres strophes tout particuliérement. De belles images, qui font penser à la méditerranée, au sud, là ou on trouve ce bleu parfait, entre ciel et mer. Simple et bien rendu. (4/10/2009)
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