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Passionnément |
Sylvaine : Neige au rouge-gorge |
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Est-on sûr, au moment de mourir, que l’on ne ressentira pas comme un appel ?
Pour le veuf, l’orphelin, le croyant, tout ce qui est amour est le dernier refuge, le dernier rendez-vous, dernière « attente qui ressemble à un désir ».
Pour celui qui aimait les oiseaux, c’est de la forêt glacée que vient l’appel. C’est l’heure.
Lui le terne, l... (20/4/2019) |
Beaucoup |
hersen : In the mood for love |
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« Se taire pour tout dire vaut mieux que de parler pour ne rien dire »
C’est quoi l’Amour, quand on a rien à se dire ? Mais…
N’est-ce pas l’Amour quand ceux qui ne se disent rien sont heureux d’être ensemble ?
Ici l’auteure a choisi de donner la parole au silence. Retirons le soleil, le Jacaranda et le bica, et nous voici transportés d... (13/4/2019) |
Beaucoup ↑ |
Sylvaine : Bûcher |
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Encore un texte de Sylvaine exprimant des souffrances par rapport à la mère, avec un besoin de délivrance. La délivrance venant ici du fabuleux phénix, bien sûr symbole de renaissance, mais dont l’image mythique est reprise de façon très poétique. Ce qui pour moi est peut-être l’intérêt majeur de cette histoire.
La fillette, au début de vi... (10/4/2019) |
Passionnément |
Sylvaine : Comme une sœur |
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Une absence et une obsession, c’est ce qui sous-tend ma lecture et mon interprétation de cette histoire.
« L’aimiez-vous ?
Je crois que j’en avais surtout peur »
Phrase clé du texte.
L’absence, c’est celle de l’amour. Et la pire : celle de la mère. Il n’y a pas besoin d’être féru de psychologie pour imaginer les conséquences, pour ... (24/2/2019) |
Un peu |
Orikrin : Le nuage dans la douche |
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Une conversation adulte-enfant est toujours difficile à transcrire, et se heurte facilement à des risques de non crédibilité.
Il y a ici une tentative un peu poétique d'un dialogue où l'oncle tente des explications imagées pour des phénomènes physiques.
C'est sympathique, mais quand même très sommaire.
Mokhtar, en EL (11/10/2018) |
Bien ↑ |
Andre48 : Un Last Word |
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Le superbe tableau « à ambiance » de Hooper, qui évoque autant le cinéma que le polar, a inspiré bien des auteurs (cf Patrick Besson : l’arrière saison).
Ici l’auteur annonce vouloir moderniser l’environnement et les mœurs de ses personnages. Sa métalepse consistant à entrer dans la scène pour faire ses adieux à ses vieux personnages constitu... (1/10/2018) |
Beaucoup |
Thimul : L'étrange pouvoir de Victor |
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L’auteur de cette nouvelle est un « embobineur ».
Tout d’abord, il capte le lecteur avec une écriture extrêmement plaisante. Avec des phrases courtes, de nombreux sauts à la ligne qui aèrent le propos, le texte poursuit son petit bonhomme de chemin sans lasser le moins du monde. C’est donc déjà par le style narratif que l’auteur « embobine » ... (12/9/2018) |
Passionnément |
Sylvaine : Le bleu des chevaux |
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Quand un désenchanté trouve l’enchantement…
Désenchanté parce qu’il ne trouve pas de sens à la vie qu’il mène. Parce que son boulot de prof lui semble improductif et absurde. Parce que sa vie conjugale n’est qu’une convenance confortable routinière, parce que sa prochaine paternité lui semble incongrue, inutile, injustifiée. Et parce qu’en fa... (9/9/2018) |
Passionnément |
emju : Le mur |
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"Louis se levait au ralenti…"
Dès les premiers mots, on voit résumée ce qu’est l’existence du personnage, atteint par la vieillesse et la solitude. Il gère sa fin de vie, soignant sa vache en jouissant de la quiétude dans son univers champêtre.
Petite vie au ralenti, répétitive, faite d’habitudes. Aménagement de la solitude. Routine que ... (7/9/2018) |
Beaucoup ↑ |
memitte : La femme qui se grattait la barbe |
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La femme à barbe s’exposait dans les cirques. Et c’est un sacré cirque qui nous est proposé là.
Alcirion (ci-dessus) a fort bien synthétisé le propos de l’auteur. Restent des interrogations sur la symbolique (farfelue mais travaillée) retenue par le héros (ine), dont on cherche en vain le camp réel.
Et qui, finalement, se situe probabl... (8/8/2018) |
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