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Un peu |
Pluriels1 : Paroles de Mer |
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Bonjour Pluriels,
Trop d'effets poétiques tuent la poésie.
Il y a beaucoup d'images, beaucoup de métaphores, beaucoup de mots qui, comme le dirait Verlaine, sont choisis sans quelque méprise.
Mais il dit également: " Rien de plus cher que la chanson grise, où l'indécis au précis se joint"; mais il manque le "précis" dans votre poème qui lui... (3/6/2012) |
Beaucoup |
funambule : Ce matin je disais… |
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Bravo Funambule,
Je n'ai pas lu le texte, en revanche j'ai écouté plusieurs fois la chanson.
Comme le dit à juste titre Brabant, le texte est presque trop riche pour de la musique, mais ne boudons pas notre plaisir.
Et quel plaisir!
j'ai retrouvé dans la voix un soupçon de BB , et dans l'orchestration un soupçon de Gainsbourg; que l'imagi... (1/6/2012) |
Bien |
Meleagre : Un air de jazz [concours] |
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Toujours beaucoup de sensibilité, un peu de mélancolie dans les textes de Meleagre.
Cette sensibilité à fleur de peau est parfois difficilement maitrisée, l'inspiration que cette sensibilité fait naître plonge rapidement dans quelques clichés tels:
"m'envoûtait le cœur.", "Cœur et gorge serrés, je me sentais revivre. Nos yeux à l'unisson étai... (20/5/2012) |
Pas |
David : La seule île au sud |
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A quoi bon utiliser la prosodie, jusque dans ses moindres recoins (appellation classique) pour écrire un texte où la beauté n'est pas la préoccupation?
La prosodie a été conçue justement pour la fluidité, le rythme, la perfection sonore de la langue française.
Qu'un auteur conçoive ce qu'il écrit au travers de la force du message qu'il veut f... (17/5/2012) |
Beaucoup ↑ |
Miguel : Ceux qui dorment en nous |
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L'écriture de Michel est certainement une des plus accomplies d'Oniris; par moments, certains de ses vers ont la puissance de ceux qu’écrivaient nos grands anciens.
Ici, j'ai particulièrement retenu:
- "Voit les flancs vermoulus de cercueils anciens.
- "Est plus vive à l'endroit d'une vieille blessure,"
- "Là, sur le seuil obscu... (17/5/2012) |
Bien ↓ |
Marite : Ils étaient miens… |
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Un poème qui ressemble à une prose mise en vers;
--les mots sont nets, ils ne présentent aucun flou dans l'interprétation que l'on peut en faire.
--le sens est très clair, et le fond n'est accompagné d'aucune image ou d'aucune métaphore
je ne déteste pas ce genre d' "exercice", il peut déboucher sur de très beaux poèmes; en revanche, i... (17/5/2012) |
Bien |
Damy : Climat |
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Bonjour Damy,
Il y a dans tes textes un sens aigu de l'esthétique: les sons sont (pardon pour cet horrible hiatus) magnifiques et le rythme ne s'en laisse pas compter.
Je crois, mais cela est personnel, qu'ils souffrent d'être trop chargés. Trop de mots lourds de sens, trop de métaphores, trop de mots, pour moi, inconnus.
Double effet: ... (12/5/2012) |
Beaucoup |
brabant : Matricule 78651 |
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Un beau texte , très classique dans ses mots et ses tournures. Le rythme est fluide et la lecture aisée.
C'est vrai qu'il faut aller aux renseignements pour comprendre de qui il s'agit.
Mais cette grande dame a toujours agi avec discrétion, de la distinction, n'étalant jamais (je crois) ses immenses souffrances et celles de ses proches. Elle a... (29/3/2012) |
Passionnément |
Arielle : Ultreïa baroudeurs |
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Beaucoup de poésie dans ce texte.
Les mots! les mots sont beaux très beaux, se suffisant parfois à eux mêmes dans leur musicalité, surprenants parfois dans leur inhabituelle utilisation, parfois nous emportant par ce qu'ils évoquent.
Le rythme est parfait, et les images de ces nuages avançant inexorablement vers nous, puis s'en allant vers... (29/3/2012) |
Bien |
funambule : La honte ! |
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Bonjour Funambule,
Un texte agréable à lire, parfois un peu trop simpliste; j'essaie de l'imaginer en chanson.................
Quelques strophes ressortent:
"On f’ra l’poulet des jours de fête,
Ton p’tit cul penché à la f’nêtre,
On verra le feu d’artifice,
Pas en entier mais on s’en fiche."
j'aime bien celle là et si je l'entends... (23/3/2012) |
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