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Bien ↑ |
Anje : Callisto |
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Bonjour Anje,
Le souffle lyrique de ce petit sonnet aux vers hétérométriques est compromis par quelques incongruités, telles que [i]l’élément déclencheur[/i], arrivant comme un cheveu sur la soupe, en fin de deuxième strophe (« [i]Mais la lune me dit…[/i] ») ou le très familier « [i]me prit jusqu’aux moelles[/i] » dans la dernière strophe. Aj... (6/6/2022) |
Beaucoup |
Pouet : Retour simple |
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Bonjour Pouet,
J’ai adoré suivre ce narrateur apatride (ou amant prodigue ?) dans son drôle de périple. Petite prose enlevée, regorgeant de surprises, l’histoire n’en est pas moins émouvante : une brèche dans l’existence (« [i]une fracture ouverte je n’avance que des yeux[/i] ») et voilà qu’un souvenir bien enfoui refait surface, celui d’un a... (3/6/2022) |
Beaucoup ↓ |
Cristale : L'éphémère |
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Bonjour Cristale,
D’abord, il y a cette éphémère, dont la vie n’est pas faite pour durer et qui n’a d’autre destin que d’attendre sa propre mort, comme ignorée du ciel. Et puis, il y a cette narratrice à la mémoire (du corps et de l’esprit) intacte, une personne aimée qui n’est plus (« [i]nous deux[/i] ») et le temps imprégnant sur sa peau so... (3/6/2022) |
Bien ↑ |
Eskisse : L'adagio d'un ciel |
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Bonjours Eskisse,
La chorégraphie aérienne d’un Yoann Bourgeois et le minimalisme pianistique à la Philip Glass se marient magnifiquement ici pour nous offrir un vrai spectacle ; un spectacle innovant, poétique et aérien, respirant l’humilité.
À leur côté, ce poème cinématique, au titre si accordé, nous embarque dans un ailleurs tout aussi... (2/6/2022) |
Beaucoup |
Eskisse : C'était presque l'amour |
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Bonjour Eskisse,
Il m’a fallu plusieurs lectures pour comprendre, pour entendre vraiment, ce qui se murmure, là, tous près, juste en-deçà du lexique fleuri et très joliment imagé, la solitude en béance derrière l’amour et ses décors, l’amour et ses ostentations, enfin, l’amour et sa routine.
Ce « [i]presque l’amour[/i] » prend toute son év... (29/3/2022) |
Bien |
Cyrill : Incipit au crépuscule |
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Bonjour Cyrill,
Une humanité à son crépuscule qui traverse une crise civilisationnelle ; en son sein, certains « [i]êtres raréfiés[/i] » se détourne(ro)nt des espoirs en comprimés et autres analgésiques promis et vendus par des dieux orateurs « [i]sans majuscule[/i] » pour créer (?) un autre rapport au vivant, plus vrai, plus harmonieux, plus... (28/3/2022) |
Beaucoup |
Pouet : Les brûleurs de pas |
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Bonjour Pouet,
Tout de go, je le dis : j’ai beaucoup aimé ce récit poétique infernal en forme de fable burlesque et abrasive, il interroge sur l’aliénation de l’être humain dans notre monde contemporain, qu’elles qu’en soient sa nature et sa texture, et le fait d’une manière furieusement « épicée »/« relevée » pour qui aime le second degré (C... (21/3/2022) |
Bien ↑ |
Myo : Entre deux dalles grises |
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Bonjour Myo,
Connaissant le registre poétique de l’auteure et affectionnant sa sensibilité, autant que sa justesse, dans l’expression des émotions humaines, j’ai d’abord regretté que la métaphore impliquant cette mauvaise herbe – celle-ci étant le « [i]comparant[/i] », en rhétorique – ne laisse pas apparaître avec plus de netteté ce qui couve... (15/1/2022) |
Beaucoup |
Provencao : La rose Rachel |
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Bonjour Provencao,
J’ai été touché par ce tendre sonnet quinzain en vers libres, où la béance de l’absence est très finement évoquée, des souvenirs brûlants à l’amour perpétuel, du « moïse de terre » à l’hiver (le moïse désignant un berceau) jusqu’à la « douce étoile » guidant les pas de la narratrice.
Tout y est en clair-obscur, en oxymo... (12/1/2022) |
Beaucoup ↑ |
Vincente : L'escampette |
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Bonjour Vincente,
J’ai été véritablement charmé par l’infinie douceur émanant de ce récit (éminemment) poétique. Infinie et… « infinitésimale » aussi, car l’écriture est d’une telle finesse, d’une telle dextérité, qu’elle semble parfaitement ajustée au propos, s’y ajuster jusque dans les moindres détails, les moindres nuances et les moindres ... (28/11/2021) |
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