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Les évaluations de Lapsus

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Beaucoup Coline-Dé : Chant de marin
Comme il est désespéré ce chant de marin qui pleure après sa bien-aimée. Au-delà du travail exténuant et sale, il la porte en lui mêlée aux souvenirs des tâches rassurantes d'une maison bien tenue. Des expressions qui font mouche : "Te lire, c'est descendre dans la soute et à l'instant d'aveuglement, regarder le ciel par un interstice, les ... (13/11/2009)
Beaucoup kobane : Fin de vie
Il n'y a pas de concessions, mais de la tendresse qui finit aux limites de l'impuissance dans ce poème. Les alexandrins sont bien construits et la structure du texte bien travaillée, l'alternance des rimes masculines/féminines est respectée. Du rythme, il y en a, pour preuve la séquence répétée des alexandrins/deux hexasyllabes/alexandrins. ... (12/11/2009)
Bien wancyrs : De plume et de mots
Tout le monde se cherche des hérauts et Oniris, par ce texte lâché, en tient un. Le texte ne manque pas d'images savoureuses, je suis heureux de constater que cette proclamation n'a pas été jugulée, comme quoi les monarques ont aussi de l'humour. (11/11/2009)
Bien ↑ LEVENARD : Des vacances pour Gigi
Le texte permet l'intrusion dans un univers où le bonheur projeté semble futile et dérisoire. La défectuosité (autant dire la misère), sensible dans le registre du vocabulaire et le phrasé, l'est tout autant dans les perspectives évoquées. Le poème est construit en strophes de neuf vers, selon le schéma général AABCCDEE, concourant à l'impre... (11/11/2009)
Bien ↑ Fanch : J'attends...
Quelques vers pour poser une pensée sur les attentes de la vie et la brièveté de l'existence, nourrie de rencontres improbables et de moments fuyants. La construction est plaisante et la chute est un juste retour des choses comme un refuge à la vieillesse, l'enfance idéalisée dans sa spontanéité et son intemporalité. (11/11/2009)
Beaucoup thaumaturge53 : Dorique, ionique ou corinthien ?
Ce sonnet aurait dû être censuré, il donne envie de tirer plusieurs fois dans la bouffarde. De plus, il en fait un acte ou un édifice sacré ou sacrilège c'est au choix. Il y a de la nonchalance assumée dans cette contemplation. Les mots sont parfois rares imposant un registre décalé. (9/11/2009)
Bien ↑ Mr-Barnabooth : Une bouche d'égout sur le bord de la Maine
Beurk ! Il fallait oser ce poème post-industriel et chimiquement coloré, mais ça fonctionne, la vision est hallucinatoire et on finit par prendre pitié de ce soleil au lit si repoussant. Cézanne ou pas Cézanne, c'est la peinture d'une nature morte. (7/11/2009)
Bien ↑ TITEFEE : La mendiante
Un rythme construit et régulier pour une évocation du quotidien d'une descente aux enfers, "Elle longtemps agile Elle descend les degrés" c'est une déchéance attendue et au bas de l'escalier se profile la mort. L'espérance de vie d'un SDF est de 45 ans. (1/11/2009)
Beaucoup colibam : Dans la rue sombre du temps plié
"Dans la rue sombre du temps plié", je pressens un jeu de mots sur le titre qu'il faudrait tout aussi bien lire "Dans la rue sombre du Templier". Est-ce un hasard s'il existe à Lyon, et probablement ailleurs, une rue des Templiers qui est "une rue tordue bordée de vitres sombres", marquée par un passé qui remonte au 13ème siècle ? L'ambiance... (29/10/2009)
Beaucoup Lariviere : Marelle
A lire de bas en haut... Qu'est-ce qu'il est excentrique Lariviere et puis ce titre, et puis ces strophes en décalage comme les cases à sauter. Mais oui, mais c'est bien sûr... Neuf cases, neuf strophes, de la terre au ciel. Au commencement était l'étouffement et l'écra... (28/10/2009)
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