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Bien ↑ |
unpietrebabouin : Minuit |
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J'aime beaucoup l'atmosphère de ce texte.
Entre sensations et dérives, il s'ouvre sur un "laisser-aller" émotionnel et "curatif".
Le narrateur semble être à la fois acteur et spectateur, en éternelle découverte, de l'autre, de lui-même, de tout ce qui l'entoure.
C'est un flot d'images, qui pour certaines sont très marquantes :
"Le mond... (11/8/2011) |
Beaucoup |
mitsouko : Et les doigts jaunis par la nicotine de Thelonious Monk |
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Il y a du visuel et de l'auditif, dans ce texte.
Le titre, repris en leitmotiv pour ouvrir le refrain, attire le lecteur sur ces doigts qui jouent.
Les deux premiers passages, dont le dernier vers débute par "comme" impriment le rythme : retour au mouvement, au geste, "saccadé/décalé/asynchro", jazzy, et laisse entendre la musique.
Je t... (22/7/2011) |
Bien |
zenobi : Araignées et vieilles dentelles |
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J'ai tourné plusieurs fois autour de ce texte, sans ne savoir par quel bout le prendre.
J'y vois plusieurs textes regroupés, si bien que j'ai cherché des transitions qui ne me sont pas apparues, de prime abord.
Peut-être des sensations versées à des instants différents, ou bien l'évolution d'une histoire en plusieurs paliers...
Le lien m'a... (16/7/2011) |
Un peu ↓ |
thea : Le bruit que fait ma peau |
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Depuis le titre, très beau, jusqu'au passage final, l'ambiance est posée.
J'aime beaucoup l'atmosphère aigre-douce qui se dégage de l'ensemble.
Pour ce qui est de l'expression, et bien qu'elle paraisse déjà épurée, j'accroche sur certains passages, alourdis par des répétitions rapprochées :
"s’éparpille sur le jardin - sur la vie" (deux f... (7/7/2011) |
Bien |
Damy : Le vieil if |
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Je trouve subtil ce ballet sur deux rimes (u/ol).
Il permet de prendre la juste mesure du fond, en y associant une musicalité "lugubre" bien adaptée.
Par contre je n'aime pas cette inversion "Et dans la verte orbite". "Orbite verte" me paraît moins empesé.
Quoi qu'il en soit, j'ai apprécié ma lecture, et les images ; celle-ci, plus part... (18/4/2011) |
Bien ↑ |
pieralun : Déni |
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Ce texte est "horrible", dans le sens où la douleur entraîne une sorte de folie. Ou comment une mère ne peut se résigner à la perte de son enfant.
Un phrasé tonique, une intonation vive ; l'expression volontaire renvoie une "colère soumise", en demi-fond.
Une lecture forte. (6/4/2011) |
Beaucoup |
Charivari : Rouen |
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J'aime beaucoup cette évocation.
La ville n'est qu'un prétexte, en fait.
Sa couleur-douleur se prend dans les souvenirs, ou inversement. Les souvenirs se grisent de ce qui s'y est vécu.
Des traces de soi, collées aux murs, aux rues, tout ce qui renvoie à l'histoire.
J'ai apprécié ce moment. (25/3/2011) |
Beaucoup |
Meaban : C'est un matin d'eaux claires |
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Ce que j'aime particulièrement, dans ce texte, est l'apparente nonchalance.
On a l'impression qu'il ne se passe rien, sur ce rythme-là, et pourtant, tout bouge.
L'ensemble, paraît "figé" en contemplation, alors que chaque ligne s'anime d'une sensation.
Ce n'est pas le regard qui est posé là, à contempler, mais bel et bien la vie qui fai... (3/3/2011) |
Bien ↑ |
Arielle : Des mots |
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Quel débit !
On dirait un texte d'urgence.
Tenter de tout dire, tout vider, jusqu'à la dernière encre.
Laisser des petits bouts de soi...
Des mots à vivre, pleinement, autant de sucre que de sel. (28/2/2011) |
Beaucoup |
Lhirondelle : Fenêtre sur cour |
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Ce texte a un charme mélancolique fou.
Entre la musicalité, les images, les sons, l'ensemble est plus que prenant.
Quant au rythme, impulsé par la forme, il laisse entendre pleinement une respiration que je trouve subtile et très appropriée.
Un très beau moment. (25/2/2011) |
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