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Les évaluations de Arielle

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Beaucoup hersen : Tant que la Terre tourne
Perdu dans cet enfer artificiel de plastiques et de néons, l'observateur regarde se consumer autour de lui ce qui reste d'un monde qui n'a plus rien commun avec celui qu'il a connu. Les animaux, les végétaux se tordent dans les affres d'une agonie programmée par ses semblables. Les étoiles,elles-mêmes semblent avoir disparu et pourtant, lan... (17/1/2018)
Beaucoup Queribus : Ballade de la marchande de bonbons
J'ai eu, en lisant cette ballade, une pensée pour France Gall décédée hier et pour ses "Sucettes à l'anis". Je n'ai pu m'empêcher de voir un sens légèrement grivois à cette ravissante invite au péché de gourmandise et si je me trompe ce n'est pas Gainsbourg qui me contredira ... Pour faire la fine bouche, j'aurais juste évité le "mal au ventre"... (8/1/2018)
Bien wancyrs : N’en déplaise à Saint-Exupéry
Sympa ce brin de réflexion sur l'opportunité ou non de porter des lunettes quand on veut former un couple ! Pas particulièrement poétique mais je ne vois (!) pas dans quelle rubrique on pourrait ranger cet art de copuloptiquer. Je me permets donc d'ajouter mon grain de sel à ta vision, Wancyrs. Je te rjoins assez bien sur ce chemin-là : "[i]... (7/1/2018)
Un peu ↓ dom1 : Hibernal...
Vous vous êtes enfermé vous-même dans un jeu de rimes poussé à l'extrême dont vous vous retrouvez prisonnier et que vous traînez un peu à la manière d'un boulet tout au long de votre poème. De par son sujet, celui-ci appelait plutôt une joyeuse liberté. Il peut être intéressant de découvrir des formes nouvelles, inventives et votre essai est lo... (5/1/2018)
Bien ↓ Blyne : Éternelles éphémères
En utilisant la métaphore de l'étoile dont nous percevons encore la lumière après son extinction, je suppose que vous avez voulu illustrer la brièveté de nos attachements qui ne survivent un temps que grâce au souvenir. Peut-être évoquez-vous un deuil par cette "perte irrémédiable" qui vous laisse orphelin(e) ? Si l'idée est bonne, je trouve qu... (4/1/2018)
Passionnément Miguel : Ballade des vendus
Je m'étais régalée de ce magnifique pastiche en le découvrant en EL et je m'étonne de ne pas l'avoir encore commenté. La trêve des confiseurs est sans doute responsable de ce manquement que je m'empresse de réparer. Tout a été dit sur les qualités de cette ballade dont l'ironie mordante n'est pas la moindre des qualités. Je me suis plongée ave... (27/12/2017)
Beaucoup Vincendix : Mon esprit vagabonde
Une chanson douce qui balance entre corbeau et hirondelle, entre les flocons et la plage, entre un rafiot de pacotille et le clocher qui carillonne... Les heures sombres qui font scintiller les clartés d'autrefois. On peut ne pas être sensible à cette nostalgie tellement universelle, moi elle me touche par l'extrême simplicité avec laquelle ell... (13/12/2017)
Beaucoup silver : Tu m'oublies...
Il y a beaucoup de pudeur et d'émotion dans ces confidences chuchotées à l'enfant qui ne les lira pas, trop occupé à explorer son grand ciel bleu. La mélancolie s'installe, inévitable, teintée d'ennui mais, entre les dernières lignes, j'ai envie de lire une renaissance possible, le fil d'un ballon à saisir sur le ciel rouge d'une aube nouvelle.... (8/12/2017)
Pas Provencao : Jamais ne sera un Adieu
Je ne saurais pas préciser ce qui me gêne dans ce poème. J'ai beaucoup de mal à éprouver avec l'auteur la douleur qui, à force d'insistance, me fait douter de sa profondeur. Et puis il y a cette curieuse similitude, qui me met mal à l'aise, avec le très beau poème de Robot cité plus haut "Après ta mort..." Il y a des coïncidences que le hasar... (6/12/2017)
Beaucoup hersen : Le feu
En lisant ce poème j'ai revu les fascinantes images des grands incendies qui ravagent chaque été les forêts du Portugal, j'ai senti leur parfum suffocant, éprouvé la terreur puis la désolation qu'ils traînent derrière eux. Pourtant, comme tu nous le rappelles, hersen, ces catastrophes naissent d'un simple geste, en riant, batifolant parmi les ... (27/11/2017)
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