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Beaucoup ↓ |
Otus : Une truffe, deux pigeons, trois pruneaux |
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Cette histoire bien écrite est agréable à lire, avec un bon suspense. La fin est prévisible et le titre l'annonce. Mais ce n'est pas cela qui me gêne. Ce que je n'ai pas "avalé", c'est la truffe... Je me demande si quelqu'un a jamais trouvé une truffe en creusant un trou...
Mais, encore une fois, le lecteur est tenu en haleine jusqu'au bout... (20/10/2007) |
Beaucoup |
odette : Premier amour - Mo |
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Ecriture élégante et classique, très agréable à lire pour une histoire classique, elle aussi, sans surprise.
Je me suis permise de relever :
-"Qu'ignorait-il que je l'avais découverte ! Qu'ignorait-il que j'avais percé ..." Pourquoi ce "Qu"" en début de ces phrases ?
-"la vue de M.O. me provoquait": je ne crois pas que l'on provoque à quelqu'... (18/10/2007) |
Beaucoup ↑ |
Otus : Succube (deuxième partie) |
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Otus est très habile. Dans ces deux premières parties de "Succube", il ne se passe rien que de très banal. D'autant plus banal que les menus faits de la vie quotidienne sont dits par petites touches parfaites « Elle installe ses affaires, pose son sac sur le canapé comme elle le fait toujours. Cela m'insupporte. » … « Elle finit d'ôter le mas... (16/10/2007) |
Bien |
Gaelle : Trente minutes avant d'être en retard |
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Texte tout à fait curieux. Commençant par deux phrases sans verbe et peut-être inutiles. Si on commence par "Madeleine serrait son manteau...", ce ne serait à mon sens pas plus mal.
En règle générale, c'est bien écrit, le style est vif, alerte, plaisant.
Un moment, on pense que l'héroïne est complètement folle et l'on commence à avoir de lég... (14/10/2007) |
Passionnément ↓ |
Otus : Le gamin, le cerf et la Mort |
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Je trouve que c'est un texte magnifiquement bien écrit, plein de sensibilité, de profondeur mais aussi de force.
Je verrais bien cela dans un livre de souvenirs d'enfance (genre "La gloire de mon père" ou "Le château de ma mère" de Pagnol). Et dans une librairie... (13/10/2007) |
Beaucoup |
Twinkle : Une histoire d'araignées |
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Quel joli conte, absurde et délicieux.
Bien écrit. Même si deux petites choses m'ont fait tiquer.
-"Elle vouait une haine farouche contre les nuages qui lui cachaient sa bien-aimée, et la lune qui lui faisait de l'ombre" : je ne crois pas qu'on peut dire "vouer une haine contre", on voue une haine à, il me semble.
-"Ses amis en furent ravis.... (8/10/2007) |
Bien ↓ |
Souvarine : Doria Diamant |
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C'est, entre autre, l'originalité d'un rebondissement inattendu dans une histoire banale qui provoque le plaisir distrayant de la lecture. Ou alors, un très beau style.
Ici l'on n'a ni l'un ni l'autre.
C'est dommage car on sent une potentialité. Et, je rejoins là Larivière, un humour léger et bienvenu. (8/10/2007) |
Beaucoup |
Nat : Gaston Bachelard : science et imaginaire |
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La première fois que j'ai commencé à lire ce texte, j'ai arrêté cette lecture au mot "épistémologique", non que le recours au dictionnaire me posât problème, mais parce que j'ai pensé que tout le reste du texte allait être trop spécialisé pour ma compréhension et truffé de mots dont la signification n’allaient pas être, pour moi, directement abo... (8/10/2007) |
Beaucoup ↑ |
TITEFEE : Le fantôme du croisé de Crussol |
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J'ai écouté ce récit, charmée, ravie, dans la quiétude de cette soirée d'automne. C'est un joli moment dont je remercie Titefée, la bien nommée. (4/10/2007) |
Bien |
Twinkle : Brömsebro, 12 février 1645 |
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L'écriture est très jolie, c'est indéniable. Mais l'histoire est un peu embrouillée.
Anne-Catherine sauve le Prince après un naufrage, il s'agit pour lui de la découverte d'un bonheur, dit l'auteur, "celle qui allait devenir Anne-Catherine" (ce qui est déjà une maladresse, on ne dirait pas "celle qui deviendra Mathilde" mais "celle qui deviend... (2/10/2007) |
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