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| Bien |
macaron : Orlane |
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L'histoire n'a commencé à m'intéresser qu'à partir de "'Orlane était laborantine". On comprend bien que la jeune femme est déchirée entre son désir d'indépendance et les chaînes d'une relation amoureuse et on ressent que ce déchirement va crescendo, ce qui donne un accent de vérité à son "pétage de plomb". Je trouve donc que c'est très bien évo... (27/6/2017) |
| Beaucoup ↓ |
plumette : La mère sait... |
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J'ai trouvé ce texte très sobre et néanmoins poignant. Deux petites phrases m'ont d'autant plus fait sursauter. Je les ai trouvées... incongrues :
- "je ne veux pas tomber des nues" : dans un contexte médical, on peut risquer de "tombe des nues" devant l'annonce d'une grossesse ou autre chose de positif, mais pas "si ça doit mal finir". J'au... (21/6/2017) |
| Beaucoup |
Thimul : Juliette, femme de ménage |
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Une nouvelle qui mèle le suspense et l'horreur mais qui bien heureusement laisse toute sa place au second degré. L'écriture est agréable. J'ai donc passé un bon moment.
Malgré tout, j'enlèverais tout le passage "Juliette Vigreux" jusqu'à "comme tous les autres" qui apporte des précisions fort dispensables et des détails qui n'apportent rien à... (12/6/2017) |
| Passionnément |
Alcirion : La reine des Gaheux |
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Je suis très admirative de ce texte bien écrit et que j'ai trouvé passionnant
Une toute petite critique :
Avant "Demain, à la première heure, tu te rendras au couvent des Chartreux et tu lui remettras ma missive en main propre. » il y a un long paragraphe où l’on ne parle pas du Père. De sorte qu'ici j’aurais mis « et tu remettras ma missive... (8/6/2017) |
| Beaucoup |
Acratopege : Archi chez les Anonymes |
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Ah, j'ai bien ri ! Voilà un texte... rafraîchissant, bien qu'il s'agisse d'eau chaude.
Un bon moment. (7/6/2017) |
| Beaucoup ↑ |
Cox : Chez les Solier |
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Cette nouvelle, qui s'est fourvoyée dans le genre policier, me fait penser à la chanson de Brel "Quand on n'a que l'amour"...
Un thème traité ici avec force, avec puissance.
Et quelle belle écriture ! (6/6/2017) |
| Beaucoup |
hersen : chemindetraverse.com |
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En définitive, après m'avoir amusée, cette nouvelle m'a... impressionnée. Je trouve l'épisode du parc troublant. Comme si ça correspondait à quelque chose qui grouille au fond de l'inconscient.
Je ne regrette donc pas du tout cette lecture.
Deux petites choses :
- "un contact plus privilégié" : non seulement ce n’est pas joli, mais je me de... (5/6/2017) |
| Passionnément |
Thimul : Les ordinateurs ne font pas d'erreur |
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JUBILATOIRE !
Un texte bourré de trouvailles, de suspense, de philosophie sous-jacente et d'humour (noir). Un excellentissime moment de lecture. (22/5/2017) |
| Bien |
Absolue : Sous le prunier en fleurs |
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Une écriture fort jolie et une atmosphère délicate, douce et très dépaysante. Tout cela au service d'une histoire, à mon estime (peut-être suis-je dans l'erreur), ni vraiment forte, ni même très intéressante. J'ai dû relire pour comprendre car les noms des personnages sont trop exotiques pour moi et je les confondais. Il n'y a pas vraiment d'int... (21/5/2017) |
| Beaucoup ↑ |
hersen : Un seul monde |
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Ce texte m'a scotchée. Tout concourt à distiller l'inquiétude, l'angoisse même.
Car au fond, si les balises changent, ce qui ne change pas c’est le goût du pouvoir et ce « Grand » du début du texte, il est toujours le même depuis la préhistoire. Tout comme le stress des dominés qui n'a pas trop varié, lui non plus.
L’écriture est fort agréable... (2/5/2017) |
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