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Passionnément |
pieralun : Mat |
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Ce poème, tout en délicatesse, élégance et pudeur, est aussi plein d'évocations, d'images et de gestes. Personnellement, en tout cas, j'ai vu ce vieil homme mais surtout ces parties d'échecs habituelles, quotidiennes peut-être, avec son vieil ami sur un banc sous les platanes, les soirs d'été. Sans doute parce que cela me rappelle avoir vu quelq... (20/4/2015) |
Bien ↓ |
aldenor : Les couches de la civilisation |
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Je ne suis pas convaincue par ce poème. A la place d’un « autrefois » que je ressens trop proche de nous, j’aurais préféré « à l’aube de l’humanité » ou quelque chose comme cela. Pour moi, la civilisation commence à l’âge de pierre, à tout tout petits pas, il est vrai, mais l’idée est là que l’on ne peut arrêter : il faut finir par léviter tra... (4/2/2015) |
Beaucoup ↑ |
Lulu : Vue sur mer |
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J’ai l’impression d’un poème d’amour, un amour déçu ou détruit pour un homme dont on se souvient très fort mais des traits duquel on perd le souvenir – peut-être parce qu’on ne l’a jamais regardé qu’avec le cœur.
Oui, un désespoir d’amour, quand on est au-delà….
J’ai peut-être tout faux, mais c’est cela le don du poète, réveiller en chacun des... (27/1/2015) |
Bien ↑ |
Lulu : Parcours |
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C’est fort beau et très nostalgique. C’est prenant.
Je n’aime pas du tout le mot « littérature ». Je trouve le mot « écriture » tellement plus beau. Ou mieux : celui de « poésie » mais il apparaît plus loin. Alors un autre mot peut-être, mais « littérature » me semble si… prosaïque. (27/1/2015) |
Beaucoup ↓ |
Lulu : Le cerisier en fleurs |
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Je ne sais si je peux me permettre mais je trouverais tellement plus joli d’inverser :
« Comme figé dans l’air
Du jardin
Reste le cerisier »
Et la même chose ou presque pour les trois strophes qui suivent. Là, je dois avouer que je n’aime pas trop le verbe « être » qui revient à trois reprises.
J’ai trouvé la strophe « Les sardines… » tou... (27/1/2015) |
Beaucoup |
Robot : Quelques mots d’où… |
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Je vois un poète qui rêve, devant une fenêtre peut-être, le stylo dans une main distraite... C'est comme un rêve de poème. J'ai trouvé cela joli et ça m'a plu. (24/1/2015) |
Beaucoup ↑ |
Robot : Une eau se promène |
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Je n'ai pas bien compris : il y a le filet d'eau, et puis le ruisseau, et puis... Je n'ai pas compris mais me suis rafraîchie, j'ai entendu le clapotis de l'eau, et j'ai cillé des paupières devant l''étoile d'eau". Bref, j'ai beaucoup aimé. C'est le principal. (24/1/2015) |
Beaucoup |
Robot : La Maison vide d’Oléron |
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Autant j'ai aimé le dernier quatrain avec "Pierre" et "Loti" et les roses trémières et qui termine ce joli poème en toute nostalgie, autant je n'ai pas aimé, dans la première strophe, le jeu de mot "Loti" et "maison de pierre". C'est pour moi le seul bémol dans un très joli texte qui me donne l'envie de découvrir cet auteur que je n'ai jamais lu. (24/1/2015) |
Beaucoup ↑ |
Francis : Matricule 376 |
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Ce poème m’a beaucoup émue parce que mon père à dix-sept ans combattait lui aussi dans les tranchées et parce que c’est très bien écrit, sobrement et avec infiniment de sensibilité. Merci. (24/1/2015) |
Beaucoup |
Francis : Paradis perdu |
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Le sujet m’interpellait et le poème m’a effectivement empoignée à partir de « Les souches des géants… ». Je n’avais pas du tout été sensible aux quatre premiers vers, je ne sais pas bien dire pourquoi. Peut-être une certaine grandiloquence ? (24/1/2015) |
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