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Beaucoup |
framato : Le banc de la place des Martyrs |
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De même construction, les deux premières strophes se présentent en reflet inversé l’une de l’autre.
Elles indiquent une alternative mortifère dans laquelle nous sommes emprisonnés. Que les nuages viennent, ou qu’ils partent, les conséquences restent néfastes, pour les hommes, et pour les êtres vivants en général.
Bien sûr, les nuages, la pl... (25/4/2018) |
Beaucoup |
eskisse : Au-delà des mots |
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Le poème se présente comme une prière, qui exprime, comme c’est le cas le plus souvent, un vœu, un souhait, un désir. Attente de la satisfaction de ce désir, la prière est une espérance.
Qu’est-il espéré ?
L’optatif : « Qu’il suffise… » introduit les conditions par lesquelles une satisfaction sera trouvée, sans qu’autre chose soit nécess... (23/4/2018) |
Beaucoup ↑ |
troupi : Avec toi |
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Le poème présente le tableau d’un couple en automne.
Cette saison n’est pas un simple décor, un arrière-plan de paysages et couleurs caractéristiques, elle exerce un poids sur le couple: «l’automne… pèse sur nos épaules », pèse sur lui et aussi l’englobe, l’enrobe de ses teintes : « son pastel rouillé / nous fait un vêtement… ». C’est dire que... (16/4/2018) |
Beaucoup ↑ |
leni : Dis-moi mon ami |
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Avec l’ami, on parle de tout et de rien, du temps qu’il fait sur la vie, de la météo d’une existence, et la chanson demande : « Dis-moi mon ami mon ami / le temps qu’il fait à vie qui passe ».
La question s’adresse à l’ami, or un ami est une sorte d’alter ego, un autre soi-même (« Nous sommes du même bateau »), et l’on sent bien que cette in... (14/4/2018) |
Passionnément |
myndie : Maelström |
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Le poème trouve sa parole dans une tension entre l’exigence du désir et celle de l’esprit ; entre un « je voudrais », poussée du désir, et l’intervention de la pensée, de la raison, de l’esprit qui s’interroge : « si je meurs », et après ? Un ailleurs ? ; entre le désir orienté vers les sens et l’esprit orienté vers le sens.
Le désir pousse... (13/4/2018) |
Beaucoup |
hersen : Le message |
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Un poème dominé par la discontinuité et le morcellement, l’inconstance et l’impermanence, sous la figure imagée, insistante, du « grain ».
Discontinuité du temps, qui sépare le poème en deux parties, en deux « matins » : une présence heureuse, une absence douloureuse.
Une présence elle-même faite de moments « égrenés », moments de « bonheur ... (6/4/2018) |
Beaucoup ↑ |
myndie : Haïkus 84 |
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Une belle expérience poétique dans la forme des Haikus.
Leurs règles de métrique sont respectées, 17 syllabes sur trois lignes réparties en 5-7-5
La référence aux saisons, traditionnelle dans les haïkus, est bien présente : le printemps dans le premier ; l’hiver indirectement dans le deuxième, par la glace et le givre ; l’été dans le quatriè... (3/4/2018) |
Beaucoup ↑ |
emilia : Romantique duo |
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Ce duo amoureux ne s’abandonne pas à de fougueux ébats ; un élan violent ne pousse pas l’un vers l’autre, mais les corps se rencontrent dans un effleurement des lèvres, « elle frôle ta lèvre ». Par là commence l’aventure des sens, par ce frôlement.
Chacun se tient à la frontière de l’autre, sans que l’un se mêle encore à l’autre, sans s’ « ... (23/3/2018) |
Beaucoup ↑ |
Robot : Jour sombre |
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Ce poème dépeint un paysage mélancolique, qui « rumine son cafard », un paysage dans lequel le poète projette sa vie intérieure.
Les reliefs et l’étang, la forêt et le vent, le ciel et ses nuages, auxquels une strophe est à chacun consacrée, portent la marque du deuil et de la mélancolie.
La pluie pourtant sera libératrice.
Le poème présen... (21/3/2018) |
Beaucoup ↑ |
leni : Cheval de bois de rallonge |
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Il s’appelle « bois de rallonge », petit supplément de plaisir de la vie enfantine, petit surplus de mémoire des temps vieillissants, «Comme au vieux temps comme au vieux temps » ; il s’appelle « bois de rallonge », et c’est un petit cheval blanc.
Il tourne sur son manège, et fait tourner jeunes et vieux, « aux fêtes des petits pays ».
A... (21/3/2018) |
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