Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Les évaluations de Louis

« 1 (2) 3 4 5 ... 19 »
aboutie/aime bien VinSpat : Prière pour un pays
Ce poème exprime de façon émouvante la quête d’un pays qui n’est plus, d’un pays disparu, d’un pays sous les ruines. L’important tient dans la manière dont il est recherché : « je cherche mon pays comme on cherche une étoile / un abri / un ami, etc. L’essentiel dans cette quête, c’est qu’elle exclut le principe le plus immoral, le plus inhum... (19/1/2024)
très aboutie/aime beaucoup Jemabi : Stigmates
« Longtemps j’étais enfant » : déclare le premier vers. Dans le contexte du poème, "enfant" se comprend dans son étymologie latine : "infans", qui signifie : « celui qui ne parle pas ». Être « enfant », c'est alors être sans langage. Ainsi le premier vers est-il l’affirmation d’une situation d’un manque de parole. Cet état sans langage, ... (12/1/2024)
très aboutie/aime beaucoup Myndie : L'épave
Le poème fait sentir avec maestria un mouvement perpétuel en contraste avec une vie humaine limitée dans le temps, fragile, éphémère, figurée par une « épave humaine » échouée sur un rivage. L’infini et le fini sont ici au rendez-vous d’un matin gris sur le bord d’un océan. L’aube d’un commencement se mue dans les ténèbres d’une fin, d’un cr... (12/1/2024)
très aboutie/aime beaucoup Eskisse : Mon ours ne sourit plus
Le sujet de ce poème est émouvant, mais le texte ne s’efface pas devant le pathos du sujet. Par ses images, par sa construction, par sa musique si belle si triste, par le choix de ses mots, c’est lui aussi qui suscite l’émotion. C’est une sensation de perte qui s’exprime dans un premier temps : perte du sourire : « mon ours ne sourit plus... (10/1/2024)
aboutie/aime beaucoup fanny : Chaussées d'intimité
Une poésie musicale, très cadencée qui mêle rythmes binaire et ternaire. Dans la première strophe qui ne compte que deux vers, s’entend déjà un « ou pas » scandé binaire. Le poème s’ouvre musicalement sur des… ouvertures : les fenêtres. Ouvertures sur un dedans, un intérieur ; ouvertures sur un dehors, un extérieur : elles confrontent vie in... (29/12/2023)
aboutie/aime beaucoup Eki : Désastre de nuit
Aux images romantiques si souvent associées à la lune, la locutrice ( ou le locuteur ) substitue d’autres images, moins glorieuses, moins reluisantes, tout en cherchant de « percer à jour » sa réalité, et trace un portrait de l’astre nocturne au visage moins avenant, quasi répulsif, moins soumis aux « illusions » coutumières à son égard. La ... (21/12/2023)
très aboutie/aime beaucoup Myndie : Reflets quand un ciel dort
Le ciel dort, mais pas la locutrice. La ville aussi semble endormie. La ville n’a pas de regard pour elle : « Les murs avaient baissé leurs regards symétriques » Et nulle parole : « Dans l’ombre taciturne et le temps distendu, le silence semblait infini, suspendu ». La ville ne parle pas, n’a pas non plus de mots pour elle. Silence et s... (18/12/2023)
aboutie/aime bien Cornelius : La baigneuse
Un joli poème, apparemment tout simple dans son sujet ou argument : une « fille » se dénude pour se baigner. Le poème n’a probablement pas pour visée de nous placer, nous lecteurs et spectateurs, dans la position d’Actéon qui, dans le mythe initié par Ovide, surprend Diane (ou Artémis) au bain, scène si souvent représentée dans le domaine ... (15/12/2023)
aboutie/aime beaucoup Vincente : Par la cendre inachevée
Un volcan endormi se réveille : l’argument du poème ne peut être lu que métaphoriquement, et ce volcan se présente comme la figure allégorique d’un "inachèvement" chez l’être humain, d’une capacité à renaître comme le phénix de ses cendres ; d’une "finitude" humaine moins grande que celle admise communément ; d’une ressource dans ses profondeurs... (15/12/2023)
très aboutie/aime beaucoup Eskisse : À l'unisson rossignol et vent
Ce poème réunit, à partir de la musique d’Arvo Pärt, deux mouvements opposés : d’un côté, ce qui s’en va, s’éloigne, s’écarte ; et de l’autre, ce qui demeure et subsiste dans une proximité. Le « vent » représente la puissance d’éloignement ; il emporte, rompt et brise. Le rossignol, au contraire, est l’image de ce qui demeure, se perpétue, s... (13/12/2023)
« 1 (2) 3 4 5 ... 19 »

Oniris Copyright © 2007-2023