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Passionnément ↑ |
pieralun : Le presbytère |
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C'est une amie onirienne qui m'a conseillé à tout prix la lecture du "Presbytère". Qu'elle en soit grandement remerciée !
Je ne saurais ajouter grand chose à tous les commentaires déjà datés.
Je suis émerveillé tout simplement et en état de grâce.
Merci, pieralun, pour cet extrême plaisir de lecture dans laquelle je replongerai avant l'extr... (6/4/2021) |
Passionnément |
Cristale : L'écho du lac |
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J’aime beaucoup la forme de ce poème, 2 quintils embrassés par 2 quatrains. Est-ce une invention de l’auteure ou bien cette forme particulière porte-t-elle un nom ?
Si Lebarde ne l’avait révélé, je n’aurais jamais su qu’ « intérieur » se disait en diérèse. Dommage donc si l’auteur visait la catégorie classique.
Je suis très sensible et char... (5/4/2021) |
Passionnément |
Ioledane : Un petit peu de nous |
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Quelle délicatesse et quelle élégance pour évoquer le temps qui passe mais qui n’a pas raison de l’amour qui survit au crépuscule des ans. Je suis charmé.
Je suis très sensible à la musique de ces tercets en alexandrins parfaitement rimés. Votre poème se prêterait bien à une chanson parmi les plus romantiques (Brel, Aznavour… et pourquoi pas Ba... (2/4/2021) |
Beaucoup ↑ |
domi : Trop beaux yeux |
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J’aime particulièrement cette forme de poème (un muzain, je crois) où en l’espace de 9 vers seulement tout est dit. Ici, avec grande élégance et délicatesse, un amour impossible qui ne se révèle qu’au secret d’une prière.
J’aime l’évocation de l’amour résumé à la seule beauté des yeux dans lesquels déjà beaucoup trop d’amantes ont plongé. Il s... (31/3/2021) |
Beaucoup ↑ |
Miguel : Le don de ce bonheur |
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Il en faut parfois peu pour tout dire. J’ai particulièrement apprécié la concision de ce poème qui évoque « un bonheur furtif mais intense ». La forme sied bien au propos.
Bien sûr ce bonheur ne saurait s’apprécier sans les 3 premiers vers évoquant la souffrance avec beaucoup de pudeur, comme contenue. Nul besoin de s’éterniser pour en évoque... (30/3/2021) |
Bien ↑ |
dream : Le héron cendré |
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Très bel instantané ! J’aime particulièrement les images du décor planté dans les 2 premiers vers, dans un vocabulaire riche. La suite est un court-métrage animalier et l’on se sent derrière l’objectif, immobile et silencieux, saisissant la brièveté de la scène.
S’il fallait que je fasse quelques remarques, je dirais que je n’aime pas trop le... (29/3/2021) |
Beaucoup |
Lebarde : Une vie en un jour |
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Une vie qui s’écoule au fil d’une seule journée, c’est dire l’impermanence du temps qui passe parfois trop vite.
J’aime le 2° quatrain avec « Les lèvres à regret oublient les aréoles » pour apprendre à l’école « le grec et le latin », passage douloureux, délicat et laborieux.
Le passage à l’adolescence est particulièrement bien imagé avec « la... (28/3/2021) |
Beaucoup |
inconnu1 : Harcelée |
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Je vais, je m’en excuse, procéder à quelques critiques qui n’ont de valeur que mon seul sentiment et que je me permets parce que je sais que vous y êtes sensible..
J’ai, c’est dommage, buté d’emblée sur le mot « miliaire ». Qu’est-ce donc qu’un(e) miliaire ?
Le mot « sourdent » ne me paraît pas très adapté pour des lumières.
Un « plafond » e... (27/3/2021) |
Passionnément |
inconnu1 : Palimpseste |
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Une nostalgie comme je l’aime, délicate et pourtant très profonde.
J’aime particulièrement les images très poétiques et d’une belle sensibilité des souvenirs de l’être aimé :
« Je sais de tes cheveux leur couleur vénitienne.
Qu’ils plongeaient sur ton front par soyeux entrelacs.
Qu’à tes yeux cérulés, je m’abreuvais sans gêne
À l’alcoolat ... (9/3/2021) |
Beaucoup ↑ |
Miguel : Les rides de l’amour |
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Aussi nostalgique que la chanson de Reggiani « La femme qui est dans mon lit » que votre poème m’a fait réécouter avec bonheur.
Il m’a aussi ramené à Ronsard « puisque la beauté ne dure que du matin jusques au soir »
Pour ces deux références, merci, Miguel. (8/3/2021) |
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