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Beaucoup |
Vincent : Le miel d'Orient |
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Ému par la chaleur humaine paternelle de ce poème écrit tout simplement. Qu'Allah et Dieu, si Ishrak et Pascal sont croyants, bénissent leur union, sinon que les "jardins du paradis" leur apportent les fruits du bonheur.
Toutes mes félicitations (3/8/2018) |
Bien ↑ |
LeopoldPartisan : Dépression suivie d'anticyclone |
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J'ai assez de mal à m'y retrouver entre les tropiques, la Kabylie (ou du moins les berbères) et Dubrovnik; entre le stylo et la cigarette; entre les filles de petites vertus et le préposé.
Néanmoins une grande émotion se dégage à la lecture de "Dépression suivie d'un anticyclone" qui tue la liberté que vous regrettez d'avoir mal aimée ou mal ut... (27/3/2018) |
Beaucoup |
Papillon26 : L'absent |
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"Le temps m’a-t-il effacée ?"
Le temps a effacé une voix partie "Loin. Si loin. Pourtant si près."
Dans ce profond chagrin on l'entendrait presque.
Mais la voix de qui ? Vous laissez, Papillon26, la libre imagination au lecteur qui peut choisir entre un(e) amant(e), un parent, un(e) ami(e), un proche. Je sais pour ma part les voix qui me manq... (27/3/2018) |
Beaucoup ↑ |
Ithaque : Biarritz |
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Très belle ode à une ville côtière dont vous avez su vanter les charmes. Elle donne envie de se laisser accompagner avec vous pour guide.
C'est une destination que je n'aurais pas choisie spontanément du fait peut-être de sa réputation de ville de riches, en tout cas sûrement pas l'été: aux plages "nauséabondes" vous préférez les ruelles.
Sain... (20/3/2018) |
Bien ↑ |
HND : Moïra |
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Je ne connaissais pas La Moire. Votre poème la présente dans une infinie tendresse toute maternelle et donne envie de s'y lover, consolé.
Les 2° et derniers quatrains m'ont beaucoup plu par leur musicalité presque parfaitement classique. Là, je me suis laissé embrasser. De ce point de vue, j'ai moins aimé les autres qui me paraissent donc mus... (16/3/2018) |
Passionnément ↑ |
Cristale : L'écho bleu de la nuit |
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Une schaltinienne au service du double souffle de l'émotion mélancolique de l'abandon. Une prière à deux couplets allant decrescendo pour une reconnaissance (une naissance reconnue) de l'amour qui ne veut pas s'avouer.
C'est très beau, très délicat, très élégant et ne laisse pas ma propre émotion indifférente: serrement à la poitrine de la tris... (16/3/2018) |
Beaucoup |
MissNode : Gel dans les os |
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Cela a l'air d'être définitif: plus de pitié face aux remords. Et pourtant, pourtant, j'ai comme une envie de continuer le récit, non pour une fin moins tragique, à l'eau de rose, mais oui, pour une reprise une fois la colère retombée. Car, pour moi du moins, ce texte est le reflet d'une grande émotivité, l'expression de la colère, plus que celu... (12/3/2018) |
Passionnément ↑ |
Goelette : À elle |
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Je me joins, bien sûr, au concert des louanges concernant la haute valeur poétique de l'expression de la tendresse et de l'amour. Mais, pour ma part, je trouve ce poème d'une insoutenable violence avec ces deux vers brutaux:
"Un soir plia son avenir
dans l’odeur blanche des cliniques"
Mon ressenti à leur lecture est une profonde douleur mêlé... (12/3/2018) |
Beaucoup |
Mokhtar : L'étrave |
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Je n'ai pas de culture sur la batellerie ce qui m'empêche probablement de partager pleinement votre colère et votre honte in fine. Mais j'imagine un rond-point avec un pot de résine géant laissé à l'abandon et à la ruine, alors je m'insurgerais et j'aurais honte aussi si ce n'est que je ne sais pas du tout si j'aurais su l'exprimer aussi bien qu... (12/3/2018) |
Un peu |
Synoon : Cinquante-trois moins six |
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Cela fait quarante sept. Mais que signifie 47 ? Son âge à elle alors que vous avez 6 ans de plus ? Et que c'est le moment de la séparation ? Votre poème reste mystérieux pour moi alors que les mathématiques n'ont aucun secret et je n'ai pas senti l'intérêt d'y faire appel pour ce thème.
Je suis désolé, mais "Cinquante trois moins six" me laisse... (9/3/2018) |
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