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Beaucoup ↑ |
Robot : Les sources de la mer |
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Qui sait si un jour la Science n'arrivera pas à enregistrer les sons contenus dans "la mémoire de l'eau" ? Il paraît que celle-ci existe.
Les chants des orques ou des baleines sont déjà de bien belles musiques. Peut-être des musiques reproduites, qui sait ? Mais je poétise.
Si vous descendez un jour des sources du Tigre et de l'Euphrate jusqu'... (20/5/2015) |
Beaucoup ↑ |
Louis : Point à la ligne |
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"Quelques larmes ont coulé sur le feuillet. Elles forment les lettres presque invisibles, mais très lisibles, de son chagrin, de sa souffrance, de son ennui."
C'est là, certainement, le mot le plus signifiant: "larmes", et qui est écrit sur le cahier.
Elle restera mystère et gardera son secret et c'est cela qui m'émeut vraiment beaucoup.
"A... (29/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Francis : Mais vous n'étiez plus là |
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Un seul nom était-il donc gravé sous les pieds du Christ ? Peut-être le patronyme d'une seule et même famille qui habitait seule le hameau ? Ou bien faut-il tout simplement un pluriel ?
J'ai beaucoup aimé la délicatesse de votre écriture, la chaumine, l'oiseau ballerine, les capucines, les lilas dont on respire le parfum.
Cette ruine semble ... (28/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Annedesr : Petit éloge implicite de la flânerie |
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Il y a même eu une "Fenêtre sur cour" dont je garde un excellent souvenir et que votre poème remet en ma mémoire avec bonheur.
Dire qu'il fût une période dans l'Histoire où l'on créa un impôt sur les ouvertures des bâtisses, ce qui engendra de nombreuses fenêtres murées.
J'ai reconnu mes propres fenêtres dans la 2° strophe. Elles donnent sur u... (24/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
papipoete : Voyage onirique |
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Ouf !
Si ce seul terme en guise de commentaire ne risquait d'être modéré, je l'abandonnerais.
Que dire d'autre ?
Espérons simplement qu'il ne soit pas pendu au gibet de la modération.
Je ne vois rien à dire d'autre. (22/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
pieralun : Mat |
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Vraiment très ému par cette pièce jouée avec grande justesse. Tout se déroule tranquillement avec pour beau décor la richesse des rimes posées là, naturellement (juste un petit doute sur pièce/justesse, justement) vers le dénouement inattendu du dernier vers où s'allonge avec tendresse toute mon émotion auprès du roi en deuil qui ne saurait surv... (19/4/2015) |
Beaucoup |
Pussicat : Vers rivage éveil |
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Bonjour Pussicat,
J'ai pris votre poème comme un jeu de mécano (excusez-moi pour la trivialité) où toutes les pièces seraient déballées dans le plus grand désordre dans les strophes en italique qui, pour moi, figurent le rêve. Tout se passe (pour moi encore) comme si vous les emboitiez petit à petit pour essayer de leur donner bon ordre dans ... (19/4/2015) |
Passionnément |
Cristale : Fleurs de larmes |
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Je suis encore une fois impressionné par la pudeur, la délicatesse et l'élégance de votre écriture pour évoquer un tel drame. Je l'avais déjà été pour votre "Dernier berceau".
Le sonnet étant pour moi la forme la plus précieuse, en tout cas une des plus nobles, de la poésie classique, il ne pouvait que parfaitement habiller un thème sacré.
J... (17/4/2015) |
Passionnément ↑ |
Robot : Sieste |
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Charmante églogue au rythme doux d'une berceuse que j'aimerais prolonger à l'infini pour trouver un repos paisible et durable.
Nul doute, je me réciterai ces vers aux moments de l'ensommeillement:
"Et l’herbe me caresse,
comme un souffle de femme déposant un baiser
sur ma joue frémissante."
Merci beaucoup, Robot. (15/4/2015) |
Beaucoup ↑ |
Annedesr : Présence invisible |
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Et que cache la plume ? Probablement la muse ayant inspiré ce magnifique poème qui offre avec finesse tous les détails de l'environnement familier observés au prisme d'une profonde et délicate mélancolie.
L'essentiel dans une simple plume, légère, insignifiante.
Merci, Annedesr, pour les images et la musique. (1/4/2015) |
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