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très aboutie/aime beaucoup |
dowvid : Privilège |
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Vraiment bravo ! Très belle pièce jazzy. Et j'adore votre accent qui me rappelle de merveilleux souvenirs.
"Quand j'pense encore à chance
Que j'ai
D'pouvoir rêver à l'ouest
De tes grands yeux bleus
Silence
Nos corps qui lâchent du lest"
C'est vraiment anthologique.
Merci beaucoup. (7/3/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Lebarde : Destins mêlés |
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Je suis vraiment très ému. Votre style est si délicat, si pudique, qu'il permet d'aborder les thèmes douloureux de la vieillesse, de la maladie, de la mort, sans aucune répulsion, au contraire. Sentimentalement, oui, j'éprouve de l'amour pour ces "deux urnes".
Excellente maîtrise de la prosodie.
Merci pour ce réel plaisir de lecture. (6/3/2024) |
aboutie/aime bien |
Graoully : Les affamées |
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Brrrrr...
Je ne connais hélas pas la légende de l'ogresse et je ne sais pas à qui elle s'adresse dès le premier tercet.
En tout cas si l'intention de l'auteur est de donner la chair de poule, pour moi, c'est réussi !
"Les affamées" me rapproche de "La charogne" de Ch. Baudelaire.
Sur le plan prosodique, le sonnet me semble parfait (25/2/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Miguel : Odelette sur la bêtise |
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Je me retrouve entièrement ou presque dans le commentaire d'Ornicar sauf que moi je pense qu'il ne s'agit ni du "second degré" ni d'une "Odelette". Plutôt une réflexion philosophique, une leçon de morale ou une séance de psychanalyse dont j'apprécie pleinement la forme poétique.
Au 1° d°, j'ai reconnu mon frère en moi. (25/2/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Graoully : Vivre sans lui |
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Bien sûr, le thème est rebattu mais pas par vous (d'ailleurs quel thème ne l'est-il pas ? On a déjà tout écrit sur tout).
Moi, je suis sorti ravi de ma lecture, le style est frais, limpide et la prosodie parfaitement maîtrisée. C'est un peu comme si c'était la 1° fois que je lisais un beau poème d'amour.
Merci Graoully. (19/2/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
solinga : Douceur nouée |
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J’ai écouté « Douceur nouée » en regardant jouer Sokolov. Quelles virtuosités ! Vertige magique. Délicate sensualité. « … c’est aimer sans rien dire ». Je savoure et me tais.
J'aime vraiment beaucoup. (7/2/2024) |
aboutie/aime bien |
Vincendix : J’étais un étranger |
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Mais rester enfermé dans une tour d’ivoire
Permettrait-il au monde où survivent les miens
De se mettre à l’endroit ? Je n’ose pas y croire
Tant je suis cénobite. Ermite je n’y tiens.
« Je respire un air pur, le vent me fait la bise ».
J’envie, Ave, ce vers, le seul vrai que je vise.
Bon, c’est une façon de voir les choses... (4/2/2024) |
aboutie/aime bien |
Ascar : Mets-ta-physique en sourdine ! |
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« Délaissez la raison pour gagner en passion,
C’est ainsi qu’on résout le pourquoi de l’atome ! »
… et qu’on trouve la bombe (anatomique).
Je ne connaissais pas la chanson de Daho. Ah ! la note, la note…
Merci pour ce divertissement qui rend parfaitement bien que « science sans conscience (de l’anatomie) n’est que ruine de l’homme. »
Do... (3/2/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Keanu : Vitre |
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Que se cache-t-il derrière la vitre ?
Tout un monde qui n’a plus les pieds sur terre mais pas encore la tête dans l’eau (à côté de celle de mémé).
Je reçois ce poème comme le confiteor d’un marginal impuissant malgré son éloquence qui « est un don de l’âme, lequel nous rend maîtres du cœur et de l’esprit des autres » (La Bruyère).
Oui, la plu... (28/1/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Donaldo75 : La route |
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La route mène à la déroute après la traversée du désert. L’amour est morte.
J’aime la puissance et la profondeur métaphoriques de ce poème qui prend à la gorge ou époumone. Ce ne sont pas des larmes de deuil mais un cri d’horreur pourtant si délicatement émis. Le poème est un grâcieux oxymore en soi : stupeur délicate ou affreuse élégance com... (27/1/2024) |
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