Les Évaluations de clementine

Les évaluations de clementine

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Bien	paja : Philogorillosophie
	J'ai lu avec plaisir, portrait au vitriol mais où je perçois un zeste de tendresse. Clin d'oeil au grand Georges. Oui ça c'est sûr. (18/3/2008)
Bien ↑	hayley : Jour de poisse
	Pas mal du tout, la litanie m'a pris également. J'aime beaucoup toute l'épilogue, et : " De poisser la nuit, le jour tombe, de haut," "C'est la grande poisse que de nouer la vie, Par les deux bouts de Dame Grande Mouise" "Mon sexe tout brûlant des chaleurs de la pâte, Brisée, toute garnie des crèmes de l’Amour, Le grand AMOUR comme lardon... (17/3/2008)
Bien ↑	nico84 : 10 Japonaiseries (haïkus, muki-haïkus et senryû)
	Je ne comprends rien aux japonaiseries! Cela glisse sur moi comme sur un toboggan. Alors, j'ai lu mais ne m'en veut pas Nico si je n'ai pas de commentaire. Edit:17/03 à 09h. Vexée par le commentaire d'Oussami qui me dit que je ne comprends rien à la poésie, je lis et relis. Et bien sûr cela devient une évidence. Simple, lumineux et beau! ... (17/3/2008)
Beaucoup ↓	marogne : Impressions du soleil levant (2)
	Tous ces clichés qui reflètent des moments de la vie sont comme un panorama qui défile sous nos yeux, intéressant. (17/3/2008)
Un peu ↑	myshadows : Little boy
	Un peu obscur, quelques vers mal tournés? ou au sens mal compris par moi? "Battre comme l'heure blafarde, Dont ton âme essaye de cacher." N'est-ce pas plutôt "que ton âme essaye de cacher" Enfin, ce n'est que mon avis. Mais touchant comme tous tes poèmes d'ailleurs. (17/3/2008)
Bien	jensairien : Un bref tour du monde en dirigeable
	Jolie ritournelle qui tourne et chante dans ma tête. Mais qui ne me plaît pas autant que tes précédents poèmes. J'aime bien: "Qui rit et celle qui vit Dans les plis de mon lit" "C’est elle ma Romanichelle Mon roman, ma citadelle". (17/3/2008)
Bien ↓	lencrier : Chiche !
	C'est frais, sympathique et cela a une très jolie sonorité. (16/3/2008)
Bien	Couette : Ma solitude
	J'adhère totalement au fond. On est si bien avec soi-même, au chaud avec ses habitudes qui sont devenues au fil du temps des rites presque immuables. Au point qu'on est toujours ravi (e)lorsqu'on quitte l'autre ou les autres de se retrouver seul. C'est vrai que la forme aurait gagné à plus de métaphores, peut-être, mais je crois que ce messag... (16/3/2008)
Beaucoup	Lariviere : Fragment du crépuscule (Morceau 35)
	En quelques mots , en quelques lignes tu nous projettes devant toute nos contradictions et cette pente où nous glissons inexorablement. Vision sombre et oh combien réelle de notre vérité ultime. (14/3/2008)
Beaucoup ↓	karminator : Chatte
	Vraiment très réussi en effet, l'expression de ce regret ne n'être pas celui qui pourfend, qui triomphe, qui possède. Violent. La dernière strophe a une très jolie sonorité. (14/3/2008)

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