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Bien |
doriankova : Tuer l'Ennui |
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Plutôt intéressant comme texte. Il y a des choses à creuser là-dessous
Cependant je trouve qu’on ne croit pas au tueur. Un serial killer ne choisit pas de l’être comme d’être postier ou professeur de chant. (13/12/2007) |
Beaucoup |
Ninjavert : Deux cloches, un gong, et une sacrée paire de cornes (Le Diable a perdu un œil) |
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Une bonne nouvelle (comme on pourrait dire au journal de vingt heure). J'y souscris : c'est une prouesse de rendre la tension d'un match de boxe avec autant de véracité.
Mais comme c'est une bonne nouvelle je me permettrais
deux observations.
1/ l'emploi de deux ou trois tournures courantes qui pourraient réduire le caractère exceptionnel du ... (27/11/2007) |
Beaucoup |
Tchollos : Au sol est Milo |
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bonjour Tchollos
A mon avis de loin la meilleure de tes nouvelles ici publiées.
Unité du temps et de l'espace, émotion, sentiment et compassion, c'est bien écrit. Je trouve à contrario que le delaiement du temps dans une nouvelle comme Mauve la vie te dessert. Tu avais sans doute de quoi en faire un bon récit mais tu t'es contenté d'une charpe... (20/11/2007) |
Bien ↑ |
Lariviere : Route muette |
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Un beau texte et une grande maîtrise de la narration. On dirait que Lariviere a un goût prononcé pour les plans cinématographiques.
Dans cette nouvelle par exemple, au début on nous dit que la voiture roule. Gros plan sur les passagers, l'image se fige. On rentre dans les ruminations du passager-narateur. La bande son : un vrombissement feutré ... (30/10/2007) |
Beaucoup |
Lariviere : Chat noir chat blanc |
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CLAP! CLAP! CLAP! (bravo)
j'aime ce texte noir à souhait, nourrit d'absurde et d'un humour tout autant noir. C'est si bien que j'en viendrais à regretter des tournures de phrases qui manquent de fluidité. En tout cas pas de trace de Ducasse dans ce texte, plutôt du Vian dans certaines de ses massacrantes et fantaisistes nouvelles (30/10/2007) |
Beaucoup |
Lariviere : Vie binaire |
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je dois dire que je trouve ce texte admirable. Ici rien n'est à jeter. Chaque mot est à sa place. On aime ou on aime pas mais on ne touche pas. Le rythme métronomique qui s'accélère jusqu'au point final en fait toute la force. Un texte résolument poétique. (30/10/2007) |
Beaucoup ↓ |
Lariviere : Fragment de rêve : Sonia |
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Ce texte rend très bien la topographie chaotique d’un rêve
(tel ce prématuré qui flotte sous les néons du plafond).
A la différence du texte « rêve du quinze juin » qui tente l’analyse,
ce texte ci, écrit au présent tel que se déroule un rêve, privilégiant
les émotions et sensations est une réussite.
Au-delà des mots l’effort de traduire le... (30/10/2007) |
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