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très aboutie/aime beaucoup |
Edgard : Carré des indigents [concours] |
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Un beau poème tout en retenue. La mort, la misère, l’anonymat… Et de là, de cette grisaille, surgit Séraphine lumineuse et multicolore avec ses fleurs et ses fruits.
Beaucoup de virgules, des coupures, des bribes de phrases, je ne suis pas fort pour décortiquer de la poésie, mais il me semble trouver ici une forme propice à refléter l’intériori... (29/3/2023) |
Beaucoup ↑ |
hersen : J’ |
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Un petit clin d’œil a Boris Vian, et c’est parti pour une colère désespérée contre la folie guerrière de l’humanité. Les « je », les « et », les « dedans » superflus, tombent comme des coups de poing dans le vide.
Brusque changement de ton l’espace de trois vers et demi sereins, apaisés (« et je reviendrai / prendre soin... ») et puis les « j... (29/8/2022) |
Beaucoup ↓ |
Malitorne : Relativité générale [concours] |
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J’aime le ton humoristique de cet ingénieux alliage de la poésie avec la science, sur le thème du temps qui passe... ou pas. En particulier les chiens devenus vieux et l’interrogation finale : le sablier ne revient pas en arrière, quelle est cette escroquerie Albert ?
Par contre, je ne saisis pas le lien avec le sujet de la strophe 2. (10/5/2022) |
Beaucoup |
sauvage : Chose marchande |
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Perte des valeurs humaines, dévorées par la machine sociale et la démesure. Le constat est clair et la forme percutante.
Amusant, la perte des majuscules, que monopolise désormais les nouveaux propriétaires des lieux.
J’aime les derniers vers sobres et sombres.
Pas sûr que « néanmoins » soit utile. (25/6/2021) |
Beaucoup |
Miguel : Ah ! puisque c'est ainsi… |
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Le poème est amusant avec sa série de scenarios post-mortem et le ton grincheux du narrateur…. mais c’est surtout la chute qui est franchement rigolote. La reprise du titre, en remplissant la case vide des points de suspensions y est pour beaucoup. L’effet humoristique est irrésistible.
Je retiens aussi « ma mort entière »… mais ici je trouve ... (24/4/2021) |
Beaucoup |
Edgard : Ce que dit le colibri |
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Une belle idée que cette vue du ciel sur l’inégalité du sort et l’exploitation de l’homme.
La simplicité du langage, la proximité de la nature, ces vers brefs et sans à-coups, sonnent justes dans le chant discret du colibri. (17/3/2021) |
Beaucoup |
Lariviere : Un jeune dans la nuit noire |
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Je suis sensible au dédoublement du poète, qui s’adresse âgé à lui-même dans sa jeunesse, sur un ton déclamatoire, avec tout le respect dû à son « ancêtre ».
Il appelle l’autre à l’aide :
« Tu t'en rappelles
Toi camarade
De ce jeune
Perdu dans la nuit noire »
Le souvenir s’est enfoncé dans la nuit noire.
Et avec lui, les certitudes :
«... (24/2/2021) |
Beaucoup ↓ |
apierre : Collage d'images de plage |
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Collage tout en finesse et légèreté.
Images éparses, tantôt plages de galets tantôt de sable, tantôt le vent souffle tantôt pas...
Évidemment c’est légitime dans un collage.
N’empêche qu’il me manque l’oeil du narrateur. Si toutes les scénettes étaient rassemblées dans l’espace et le temps, je crois que le tableau serait plus vivant. On imag... (18/12/2020) |
Passionnément ↓ |
Lariviere : Les vertèbres du monde |
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Le feu sacré s’introduit douloureusement dans le poète, par sa bouche-parole évidemment.
Je me demande si “creuse” ne devrait pas être au singulier, pour le rapporter au feu sacré. Les pluriels qui suivent me semblant juste des attributs de la coulée.
Je trouve à la partie centrale moins de fluidité.
J’en retire cependant le sens que le fe... (9/12/2020) |
Beaucoup ↑ |
Pouet : Un homme |
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Je me suis senti en confidence. Quelqu’un me dévoile le fond de son âme. En toute sincérité.
Un homme est passé par le monde et me laisse son précieux témoignage.
Je retiens en particulier certains passages :
« j'ai raillé les croyances jusqu'à croire en mes railleries. », qui me semble bien vu.
Et ceux-ci, d’une grande poésie : « J'ai fai... (26/11/2020) |
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