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Les évaluations de aldenor

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Beaucoup ↑ Castelmore : Quelquefois [Sélection GL]
“Quelquefois je me lève Affronte cette porte Un souvenir s’ouvre...” Magnifiques vers qui tranchent le poème entre porte fermée et souvenirs ouverts… Le climat de deuil est évoqué avec une remarquable économie. Les « attend » en fin de strophes résonnent comme un glas. La conclusion me surprend. « Aujourd’hui » étant le jour où le poème ... (19/8/2020)
Beaucoup ↑ hersen : Lettre au loin [Sélection GL]
Un beau poème minimaliste. J’aime l’opposition du je et du tu : le tu de la grisaille et du terne pays. Le je des ors et des bleus. Le surréalisme des images : les champs aquatiques, le bouquet de poissons (J’espère qu’on aura songé à les remettre rapidement dans de l’eau ! Non ? Ils étaient à consommer au lieu des pétales de fleurs grises ? )… ... (19/8/2020)
Beaucoup ↓ Hiraeth : Apollon et Daphné
Un poème touchant qui coule bien, en phrases amples, avec des mots simples et des images senties. Je m’interroge pourtant sur certains passages : « Et nous, l’amour vivant » : Le pluriel surprend, venant après « mes parents ». « De leur couple mourant » : plutôt « moribond » ? « Maman voulut revivre […] Un jour s’en est allée » “voulant r... (24/4/2020)
Bien ↑ embellie : Le mur [concours]
Le thème du concours est traité avec un humour qui tranche sur les autres textes. Le « vide vertical » n’a rien d’angoissant, il est tout bêtement sous l’échelle. Et toutes les couleurs, bien sur, ce sont les couleurs de l’arc en ciel ! J’aime beaucoup les quatre premiers vers. La suite est amusante, à la Prévert, mais elle manque de légèreté... (5/1/2020)
Beaucoup ↑ wancyrs : Trois éléphants mauves
Le poème ne manque pas de noirceur, mais la forme est si réjouissante qu’on passe presque a coté. L’expression semble totalement spontanée, sans plan préétabli ; chaque image jaillit de la précédente. L’auteur dit sans inhibition ce qui lui passe par la tête ; et il y passe de drôles de choses ! Après ce déferlement de fantaisie, je trouve t... (29/8/2018)
Beaucoup ↑ Goelette : À elle
Souvent je trouve artificiels les effets de mise en ligne, mais ici la fin en escalier laisse une très belle impression de départ. L’écriture est d’une grande délicatesse. Je ne sais pas quel en est le secret, dans le choix des mots ou dans les images ; un peu des deux probablement, de la vraie « mousselune »... J’aime moins dans la 1ere str... (17/3/2018)
Beaucoup Pouet : L’écriternel
Le beau projet que de former des mots avec les nuages ! Puis tant qu’à faire des phrases façonnées par le vent... Je pense à la chanson de Michel Jonasz « Le vent ne ramène jamais les nuages d’autrefois » Les majuscules intercalées et autres effets d’originalité alourdissent je trouve la lecture, en tous cas n’amènent rien. Mais le sens d... (15/1/2018)
Passionnément ↓ Goelette : En ailleurs
En ailleurs. Beau titre signalant l’exil, qu’« Il fait loin » formule joliment. Une terre belle, sèche, brune, tendre... si vivante. Les quatrains en rappel « paumes douces/ vides », structurent le poème autours de l’opposition « bonheur/ exil » ; « infini du blanc / folie du rouge ». Des associations inattendues, une économie des clichés, le... (20/11/2017)
Beaucoup ↑ Lariviere : Dans les yeux de Méduse
On n’est pas dans le style des « fragments du crépuscule ». Le poème est une succession d’images scindées. On gagne en clarté, perd peut-être en lyrisme. De très beaux passages : Le temps suspendu au col des mots perdus, l’écorce des jours, les cheveux-serpents où s'enroule la nuit, le sabre au clair de lune qui ne pourfend que le vide, l'infi... (8/11/2017)
Beaucoup ↑ Louis : Barquerolle
Barcarolle pour une barquerolle. La première phrase s’achève habilement sur « gondolent », pour confirmer ce rapprochement. On a l’impression tout au long du poème que vos doigts effleurent les touches du clavier. Des phrases tronquées, sautillantes. Des bribes, des retours « pas frivole, son jeu, rue de Folle ». Des jaillissements pudiques. ... (6/11/2017)
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