|
|
|
Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Beaucoup |
TITEFEE : enivrante |
|
La coupe est pleine de ce beau poème!
Juste deux trucs à redire :
Un. « Trop loin, au loin, si loin ». Progressivement, « au loin » devrait venir avant « trop loin ». Tant pis si ça gâchait la forme du verre. Là tu as préféré le verre au vers.
Deux. Dans mon imagerie, c’est lui la rivière, elle l’océan. (13/9/2008) |
Beaucoup |
TITEFEE : Cette nuit quand tout dort, nous on s'aime |
|
Le premier vers dit déjà tant de choses et j’aime bien la variation “lorsque/quand” avec le titre.
Ensuite le poème glisse comme du velours.
Avec de mineurs accrocs, à mon oreille :
« les senteurs puissantes du jasmin » orientalisme facile
« et sa douce texture » trop clinique
« ne sont plus zéphyr » un peu pédant, dans le contexte…
Le ... (20/7/2008) |
Beaucoup ↑ |
Absolue : Les coquelicots |
|
J’aime. Va falloir que je dise pourquoi. Que j’invente pourquoi.
Je ne vais pas.
Je vais.
J’aime comme tombe poignard. La ponctuation m’intrigue.
Non, je ne vais pas. (13/7/2008) |
Bien ↑ |
Ariumette : Mon oubli |
|
Très beaux les deux premiers vers.
Si tu l’a tapissée, c’est déjà sous tes pieds, donc je trouve une certaine redondance à « sous mes pieds ».
« J’ai mis la perception » me laisse perplexe, comme « Ton ombre absente » ; est-ce l’ombre qui est absente ou est-elle ce qui reste ?
Joliment dit : «J’abhorre l’air que tu ne déplaces… »
« Écarte-to... (27/5/2008) |
Beaucoup ↓ |
TITEFEE : Viens |
|
Le premier vers est une merveille.
“Pour admirer ton village natal” : “pour” me dérange, je ne vois pas le lien de causalité avec le soleil qui disparaît et « natal » est peut-être de trop.
Je trouve un peu lourd “Nos souvenirs sont communs”, mais le reste de la strophe est très harmonieux.
« témoignais » devait être au pluriel, non ?
La f... (20/5/2008) |
Beaucoup |
Absolue : Pauline |
|
Très fin ce petit poème en noms de poètes. Bravo ! Une trouvaille. (17/4/2008) |
Bien |
Ariumette : Écriture |
|
Je trouve que ce n’était pas la peine de répéter « Encore un mot je te déteste ».
La première fois ça a le charme de surprendre, ça tombe dans le poème comme une explication au ton désabusé qui précède.
La deuxième fois, on dirait que c’est juste là parce que tu crains que le lecteur n’ait pas saisi qu’il s’agissait de la clef du texte.
Je n... (23/1/2008) |
Passionnément ↓ |
d3irdr3 : Des gouttes |
|
Nuit-luit, le rappel contraste premier-dernier vers est magnifique.
Les mots sont bien pesés. Quelle harmonie! C'est magique.
La forme, c'est peut-etre la source qui sort? (12/11/2007) |
|
|
|
|
|
|