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Bien |
Tanxien : Les ailes d' Alice |
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J’aime bien la légèreté de ce poème, son thème subtil, son ton entraînant. Certains détails nuisent à mon sens à l’effet d’ensemble.
D’abord le refrain. Qui s’intègre mal, surtout juste après « C’est de jouer à Zelda ».
« Elle ne m’entend pas et je n’existe même pas » ; « Elle s’entête à jouer et elle gagne avec malice » : Dans les deux cas l... (5/6/2010) |
Beaucoup |
ristretto : Réserve |
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La composition est vraiment intéressante et bien rythmée.
Je comprends le poème comme une autodestruction, une forme de rébellion. Le pourquoi ne transparaît pas ; il est inutile et ne mérite pas mention.
J’ai apprécié le jeu de mots sur vague conjugué avec océan et surfant du 1er tercet. Et les derniers vers sans apitoiements sont superbes.... (21/5/2010) |
Beaucoup |
Arielle : Pantoum du pouët maudit |
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Je découvre le pantoum : Ces répétitions donnent du rythme il me semble. En tous cas la forme est bien exploitée et le poème est entraînant.
L’humour est présent. Mais il y manque je trouve quelque chose : le sujet de la moquerie. Plutôt que ce poète maudit impersonnel, j’aurais trouvé plus d’humour (et de force) à une forme d’auto-dérision, do... (23/3/2010) |
Beaucoup ↑ |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 57) |
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« Ô sérénité du Nénuphar ! » est sublime comme entame, avec en écho « Le pouvoir des mots n’est pas raisonnable. »
Pour ne pas trop faire de citations : tous les paragraphes courts sont puissants, évocateurs, imagés.
L’interrogation sur l’Homme, tour à tour esclave et immensité, est chargée de sens.
Le paragraphe principal manque pourtant de... (23/1/2010) |
Beaucoup ↑ |
Gilles : J'suis amoureux ! |
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Je découvre le premier poème publié par Gilles sur Oniris.
Le rythme et l’inventivité dans les énumérations « météorologiques » sont superbes. Une préfiguration de « Je suis ».
Les autres passages, plus précipités, ne me font pas le même effet ; je ne trouve plus tout à fait le rythme, les envolées.
L’idée et la construction du poème sont ce... (30/12/2009) |
Beaucoup ↓ |
thea : Le silence sur les toits |
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J’ai beaucoup aimé :
Les trois premiers vers si évocateurs, si joliment tournés.
Fou plutôt que folle.
Un regard sur mes rêves.
« L’air de rien » me dérange un peu, associé à « Comprends-tu ». Si ça n’a l’air de rien, forcément « il » ne comprendra pas. « Devines-tu » par exemple me paraîtrais plus logique.
Je n’ai pas aimé :
Pour ne... (20/12/2009) |
Beaucoup |
thea : Sous l'asphalte de la démesure |
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Oui cette Théa est différente, comme d’autres l’ont noté. Personnellement j’aimais autant celle de la « mélancolie douce ». Ici c’est un registre plus vibrant, plus révolté. Encore que quelque chose au fond de l’inspiration reste semblable.
Je me suis essayé à choisir les vers qui me plaisaient et ceux qui me dérangeaient, je ne suis pas sûr, c... (17/11/2009) |
Bien ↑ |
Lhirondelle : Et fleur et toi... |
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Quelques maladresses peut-être, mais c’est tellement éthéré et doux à l’oreille.
Au rang des maladresses, je trouve surtout un manque de naturel au niveau du sens :
« Ainsi, dans le jardin où j’ai fui, tu t’en doutes, »
Pourquoi « Ainsi », qui implique un lien logique avec les deux vers précédents, alors que je n’en vois pas ?
«… où j’ai fu... (12/10/2009) |
Beaucoup |
thea : La musique des heures |
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Un beau poème, évocateur et musical. J’aime le ton affirmatif, d’oracle, qu’on retrouve ailleurs chez Thea.
Quelques petites remarques :
Présage est-il utilisé à bon escient pour les étoiles ? Ne seraient-elles pas plutôt des guides en quelque sorte ?
« Susceptible de » me parait lourd, je suggérerais « Qui conduit à tes berges »
Le poème p... (7/9/2009) |
Beaucoup ↑ |
thea : Un éclat d'éternité |
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J’aime, dans les chagrins et tourments de ce beau poème, ces affirmations qui s’élèvent : « Rien ne s’effacera jamais » ; « Je sais / que je soulèverai le temps d'une seconde / Le voile d'un éclat d’éternité. »
Tu l’as soulevé pour moi. En tous cas cette seconde. (23/6/2009) |
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