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| Bien |
Donaldo75 : Chant |
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Cela sent son mai 68, ses chemins de Katmandou et son festival de l'île de Wight ; toute une époque. "Roumain" me semble là pour rimer avec "humain", car je n'ai rien contre les Roumains, mais pourquoi eux plutôt que d'autres ? On est en plein idéalisme, les fleurs dans les cheveux et tout, et on est en plein poncif, mais tout cela est joliment ... (28/4/2022) |
| Pas |
Vincent : Vingt ans en Algérie |
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L'ensemble est bien confus. Il faut connaître ces événements pour comprendre quelque chose au texte, tant les évocations sont floues. Le mot "babouches", s'il fait très "couleur locale", me semble là pour la rime avec "bouche". Les camarades retrouvés "pierres à la place des yeux et parties dans la bouche" ne semblent pas émouvoir beaucoup notre... (28/4/2022) |
| Pas |
SaintEmoi : J'ai envie de t'embrasser |
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Je n'ai pas tout compris, mais le peu que j'ai saisi suffit à me dégoûter ; cette "poésie" des fluides et de mucosités me donne envie d'aller vite prendre une douche. Je ne voudrais pas être embrassé dans ces conditions. (25/4/2022) |
| Beaucoup ↑ |
inconnu1 : Nous partirons ensemble |
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Un texte esthétiquement très réussi, de beaux vers très mélodieux, très fluides et légers, et dans le contenu une gravité sereine, une acceptation des ravages du temps, de la mort, et cet espoir dans la flamme immortelle de l'amour, espoir dont la force apparaît dans le vers récurrent qui ferme chaque stance. Un très beau texte, très émouvant, e... (10/4/2022) |
| Un peu ↓ |
IsaD : Testament |
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Ah, cette idéalisation de la mort, cette image de la mort souriante ! Même les "prêcheurs d'au delà" ne la peignent pas ainsi. Ce rejet des usages a un petit côté ado en crise, "anti-système" et sans surprise. La mort bucolique, la mort festive, sans le cercueil et le tombeau, à la bonne heure ! Que n'y a-t-on pensé plus tôt ? Les oiseaux tu l... (10/4/2022) |
| Passionnément |
archibald : Sur le Transi de Ligier Richier |
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J'avoue avoir été au départ un peu déconcerté par la situation : un poète médiéval que je ne connais pas et dont je ne trouve aucune trace (et que viendrait-il faire sur un site où on publie ses propres textes ?) ; des dates du XIVe siècle antérieures à l'oeuvre d'art évoquée.
Je me dis : voilà des clins d'oeil destinés à faire comprendre que... (8/4/2022) |
| Pas |
Vincent : Il y a la folie |
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On ne saisit pas très bien le message de ce texte. Il y a plusieurs sortes de folie, oui, ou du moins plusieurs sortes de sa manifestation, et l'on peut passer de l'une à l'autre mais je ne sais pas si le poème dit cela. Les vers me paraissent un peu plats, sans vrai souffle. Quant à la dernières strophe, elle est d'une grande obscurité.
Mi... (7/4/2022) |
| Un peu ↑ |
brunototi : Guérir de son enfance |
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Texte un peu étrange ; on guérit d'une maladie, pas d'un bonheur. L'enfance ne me semble pas ici marquée négativement, ou alors la mienne influence ma lecture. Les rimes ou plutôt les assonances internes n'apportent rien, et tout le monde n'a pas son enfance liée à la Provence, mais il y a quelques vers agréables, le 1, le 4 ("on n'ose plus", je... (7/4/2022) |
| Bien |
Lebarde : La paresse |
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La référence à Gaston m'échappe : est-ce celui qui ne répond jamais au "téléphon" ? Sinon ces vers nonchalants comme leur sujet ne manquent pas de charme. L'incipit donne le ton, que rien ne vient démentir. J'aime bien le vers 13 qui présente notre homme comme un honnête personnage, tout sauf un voleur. La chute rappelle une chanson oubliée de ... (7/4/2022) |
| Bien ↑ |
embellie : Vive le vent ! |
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Cette prose rythmée et cette personnification du vent ont leur charme. On est proche du "vent fripon" de Brassens. Le ton est enjoué et l'on tombe sur quelques jolies trouvailles. C'est aérien et rafraîchissant. (6/4/2022) |
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