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Bien ↑ |
Cyrill : Incipit au crépuscule |
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Je viens très rarement commenter dans cette section. Mais je trouve à cette écriture un souffle, une force évocatrice, une forme de noblesse. Malgré le thème sombre et le contenu pessimiste, cela se lit avec plaisir. (6/4/2022) |
Beaucoup |
papipoete : Chute |
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Pour tout dire, je retrouve là la philosophie d'un onirien bien connu et estimé. Mais si le poème n'est pas de lui (car celui à qui je pense n'est pas le seul parmi nous à prendre de l'âge), il n'en perd pas de sa valeur (on ne va pas faire comme pour les tableaux : si telle oeuvre est du maître elle vaut des millions, si elle est de l'élève ell... (5/4/2022) |
Bien ↑ |
hichem : Vision |
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"Tu n' as pas vu que le soleil était au fond de ses yeux ? Mais où avais-tu les tiens, imbécile ?" Voilà ce qu'on a envie de dire à ce benêt d'autrefois. Ce petit poème lyrique semble rappeler la maladresse d'un amoureux encore inexpérimenté; c'est simple, naïf, sincère et touchant.
Miguel, en EL (5/4/2022) |
Un peu ↑ |
willoudesmers : La nappe libre |
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Je lis un peu ce texte comme une valorisation du "loser" : tout ce qu'il ne faut pas faire, tout ce qu'il ne faut pas être, on se console de l'être et de l'avoir fait en faisant semblant de s'en vanter. Mais l'idée de cette nappe métaphorique a son charme, et le poème offre quelques trouvailles. (4/4/2022) |
Un peu ↑ |
Robot : Instants de grâce |
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Il y a des mots qui sont là pour la rime, c'est un peu dommage, et il y a quelques redondances. Mais j'aime assez la légèreté de ce schéma de strophe, et la strophe 3 (malgré "sans ennui" qui me semble là ... pour la rime). Car pourquoi l'aimée se remémorerait-elle ces instants de grâce avec ennui ? (3/4/2022) |
Beaucoup |
Cristale : Le dîner |
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C'est tendre et sensuel comme du Marie Noël. La grâce du décasyllabe classique joue à fond Cette attente et ce bonheur anticipé, couronné par "la nuit se fit poème" , est un frémissement d'amour et de désir. La métaphore du festin exprime tout en pudeur l'extase de ce moment.
J'aurais juste écrit "eût fait", et non "eut fait".
Miguel, en EL (3/4/2022) |
Bien ↑ |
poldutor : Sur les rives du Tibre |
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Beau tableau de la pompe des triomphes romains, et beau portrait, à la fois épique et lyrique, de notre chef vaincu. Il y a là du souffle de Heredia. Mais la dernière strophe tombe dans la plate leçon et n'a pas le charme des autres. Au reste, il y a quelque contradiction à dire qu'il se dérobe à l'esclavage alors qu'il est mis à mort ; s'il s... (3/4/2022) |
Passionnément |
Annick : L'étang |
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Le poème est si beau que la photographie m'a un peu déçu : elle est fort belle en soi, mais le poème me donne infiniment plus à voir : un tableau "plus vrai que nature". L'art y est aussi, bien sûr, mais il y est tellement qu'un ne le voit plus: Et je préfère de beaucoup l'image que le poème imprime en moi, ou plutôt les images, car c'est tout u... (3/4/2022) |
Beaucoup ↑ |
pieralun : Ponant |
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Si j'ai bien compris, le locuteur s'adresse à un navire moderne, insubmersible et bardé de technologie. Il y a là un souffle épique, mais celui-ci est renforcé par l'évocation des marins de jadis et de leur bateaux à voiles, fragiles et hasardeux, et des drames de la mer. Un regret, exprimé par une construction très littéraire de la forme inter... (3/4/2022) |
Un peu ↑ |
Bodelere : Gravité fragile |
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Il y a de la sensibilité, de belles images, mais je sens comme quelque chose d'inachevé dans l'expression, quelque chose qui devrait être amélioré : il y a quelque chose (pardon pour la répétition, mais je ne parviens pas à le cerner, à le caractériser) qui me semble rendre la lecture heurtée, qui empêche le poème de prendre son essor ; il en fa... (3/4/2022) |
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