Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Beaucoup |
Mintaka : La balade éperdue |
|
De beaux vers, très mélodieux. Une atmosphère vespérale et sereine, la paix du soir. Un tableau champêtre intemporel. Le citadin en retire une sensation de bien-être, d'apaisement, que partage avec lui le lecteur. À "venant", j'aurais préféré "qui vient", même s'il y a un "qu'il" au vers précédent. Les deux n'ont rien à voir ensemble, et l'esth... (2/4/2022) |
Bien ↑ |
Quidonc : Vertige |
|
Je ne comprends pas bien le dernier vers, ce qui est gênant pour un sonnet : "gredine" apparaît ici comme un verbe. Das ce cas je pense qu'il se construit de manière intransitive, on ne peut lui donner de COD. Sinon, à part le tour maladroit "furtive une prière" (il aurait au moins fallu mettre "furtive" entre virgules) j'aime beaucoup la musica... (31/3/2022) |
Beaucoup ↑ |
GiL : Honfleur |
|
De la poésie et de la philosophie : un coupe bien assorti, comme celui apparemment que célèbre ce poème. Que de délicatesse, de douceur, de tendresse ! Ce rituel de Honfleur est rendu de manière particulièrement vivante, on s'y voit, et les préoccupations de l'âge pudiquement évoqué ici ont le charme de la conversation intime. Des vers fluides ... (31/3/2022) |
Beaucoup |
EtienneNorvins : Memento quia pulvis es… |
|
Une poésie du ressenti, qui se vit à travers la lecture. Une vision, une émotion. Ces petites touches imagées sous cette forme éthérée, aérienne, ramènent à l'exergue, mais cette valorisation de la poussière me semble donner à l'Humain tout son prix. Il ne suffit pas d'être poussière pour n'être rien.
Miguel, en EL (29/3/2022) |
Un peu |
Vert-de-Gris : Une main et un pied |
|
"On a chanté l'amour et les violettes, Mais on n'a jamais chanté les paupiettes" : on se souvient, si l'on a mon âge, de ce tube des Charlots. C'est un peu pareil ici : on a chanté les yeux, les coeurs, mais les pieds et les mains, non ; si l'on commence, où s'arrêtera-t-on ? Remarquez, il y a déjà l'antique tradition des "Blasons" remise à l'ho... (29/3/2022) |
Bien ↑ |
Provencao : La nature |
|
De petites touches qui semblent éparses et qui cependant constituent une belle unité. Comme un papillon, on voltige d'une fleur de poésie à une autre; quelques images inattendues, quelques sons colorés, et cette quasi anadiplose dont le dernier terme crée une heureuse surprise.
Miguel, en EL (29/3/2022) |
Beaucoup |
Vasistas : Par les crêtes |
|
Un poème fait de mots simples et tout à fait dans l'esprit de la Maison bleue de Maxime, une chanson culte de mes vingt ans, qui était presque l'hymne officiel de notre Maison des Jeunes. Des accumulations d'images pleines de charme, rappelant tant de choses positives, l'évocation de moments forts, toute une vision de la vie pacifiste et ... (28/3/2022) |
Bien ↑ |
MissNode : La nuit hivernale |
|
Je comprends mal la dernière strophe, mais les deux premières me charment ; chaque vers porte son image. Le sommet du poème me semble être la question "Quand elle dort, la forêt rêve-t-elle ?" (25/3/2022) |
Un peu |
Myo : Le dernier coquelicot |
|
On ne sait trop de quoi ce coquelicot est le symbole : du sang, des morts, des combats, de la tristesse ... et on ne sait trop s'il est mort ou vivant lui-même. L'expression est parfois maladroite et à la limite de la correction grammaticale, comme ce verbe "exhibe" sans sujet (ce ne peut être "il" ; il y a entre les deux des constructions inter... (25/3/2022) |
Pas |
dom1 : Rendez-vous… |
|
Ces travaux de réfection, préliminaires au rendez-vous, ne sont guère excitants. On dirait un embaumeur travaillant sur un cadavre. On ne voit pas trop e quoi ce personnage émoustillé par son rendez-vous peut susciter le terme "rabat-joie". Il est sans rapport avec ce qui précède. Tout cela ma semble manquer u peu de raffinement; j'attends aut... (25/3/2022) |
|