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Pas |
Robot : Intimité |
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Il n'y a rien de bien nouveau dans cette évocation. L'habitude émousse la perception, on en a tant lu de ces moments. Ça reste excitant dans la vie, mais plus en littérature, à moins d'y apporter une dimension inattendue, ce qui n'est pas le cas ici. Je pourrais même dire ce qui va se passer ensuite.
Il faut écrire "choit", ce n'est pas le ver... (7/1/2022) |
Beaucoup ↑ |
inconnu1 : Romance noire pour une nuit blanche |
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Une poésie de la modernité tout à fait réussie Je pense aux poésies de Michel Houellebecq, que ses romans font injustement oublier ("Je roulais au volant de ma Peugeot Cent-quatre / Avec la Deux-cent-cinq j'aurais eu l'air plus frime", oui avec ces voitures ça date un peu, mais ce n'est qu'un exemple), ou encore à Bernard Delvaille. Et cette mod... (7/1/2022) |
Pas |
LouValette : Joyeux Noël |
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On sent bien que l'exclamation "Joyeux Noël" sonne comme une antiphrase, mais ce texte hermétique et abscons ne permet pas d'en comprendre davantage. L'expression en anglais a un petit côté snob qui n'ajoute rien. Évidemment "Regarde,
Je t'ai offert la nuit" a une certaine classe, mais qu'est-ce que ça veut dire ?
Miguel, en EL (7/1/2022) |
Bien ↑ |
Lotharquejamais : Le vieil arbre et la graine |
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Le vers "Le chêne blanchi sur la colline" a neuf syllabes. Quelques détails techniques (rimes, hiatus), font de ce texte une poésie néoclassique. Mais l'essentiel n'est pas là : il est dans la délicate évocation de cette petite graine fragile, infime promesse de vie alors que le géant s'avance dans la mort. Une antithèse bienvenue, une sorte de ... (7/1/2022) |
Beaucoup |
Anje : Une mésange dort |
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Quel joli poème, plein de délicatesse et d'harmonie ! C'est ce que j'aime à appeler du réalisme poétique. Cet oisillon est donné à voir comme s'il était filmé, et le dernier vers vient se poser avec grâce et légèreté, oiseau lui-même. (7/1/2022) |
Beaucoup |
sigrid : Poison |
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Ce poème de la souffrance et de l'absence est particulièrement émouvant, avec cet hexasyllabe qui sonne comme un glas à la fin de chaque strophe. De belles images, des vers harmonieux, une souffle d'anxiété qui envahit cette atmosphère nocturne et funèbre. De la belle poésie. (7/1/2022) |
Beaucoup |
Stephane : Rue fantôme |
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Il y a là tout le flou propre à la poésie moderne, et tout le flou que justifie le titre. Il émane de ce texte je ne sais quoi de très fort, de très élégiaque, qui va au coeur, et j'y trouve de belles trouvailles, une rue que le soleil n'ose plus emprunter, une main qu'on ne serre qu'une fois, une rue flétrie par le silence ... C'est beau. (6/1/2022) |
Beaucoup |
Vincendix : Le ruisseau sans souci |
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Une bien jolie chanson que ce poème sur un ruisseau. Ça chante comme l'onde, précisément. De beaux rythmes, de belles sonorités, et cette métaphore de la vie et de son cours mystérieux. C'est sans prétention, et tout plein de charme. (3/1/2022) |
Pas |
Provencao : La rose Rachel |
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Un hommage sans doute, une sorte d'oraison funèbre, mais bien obscur pour moi. J'adore la grammaire mais caresser des verbes ne me viendrait pas à l'idée (même dans le sens global de "mots"). Le verbe "enjôler" est de sens négatif et n'a pas sa place dans un compliment. Après, je ne comprends pas non plus. "Ce qui se conçoit bien, écrit Boileau... (3/1/2022) |
Beaucoup |
Phicai : Fin d'été |
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De belles images, et ces rejets ou enjambements qui parsèment le texte lui donnent un sorte de dynamique en rapport avec les souvenirs évoqués, les forts sentiments exprimés. Il y a dans cette nostalgie une présence forte de ce bonheur ancien dont on sent qu'il est toujours là, quelque part. C'est lyrique et c'est vivant.
Tu nous disais en arri... (3/1/2022) |
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