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Beaucoup |
GiL : Chanson d’automne |
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Je ne sais si ce texte relève d'une forme fixe, je vais voir ce qu'en disent les autres lecteurs. Mais en tout cas c'est plein de charme : le refrain en tercet et les rimes récurrentes créent une sorte d'envoûtement, il y a juste ce qu'il fut de description pour créer une atmosphère, et le lyrisme élégiaque de ces beaux vers mélancoliques va dro... (16/11/2021) |
Bien |
Pouet : Je suis mon historien |
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La force des mots crée les images dans l'esprit du lecteur. Mais la grandeur tragique de ce récit, avec sa dimension à la fois épique et lyrique, eût mérité une forme plus rigoureuse que ces strophes parsemées de vers sans mesure et sans rythme, qui heurtent la lecture ; une bonne prose aurait fait l'affaire, ou le vers classique. (15/11/2021) |
Beaucoup |
Cristale : Les liens secrets |
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De beaux vers au souffle lyrique qui rappellent les "Stances à la belle vieille" de Maynard (la constance dans l'amour malheureux ; une merveille). J'ai pensé d'abord à "Tzigane", superbe sonnet de Charles Cros; mais l'errance y est heureuse. On peut penser aussi à l'elliptique "Il voyagea." de Flaubert : la fuite comme tentative d'oubli. Ici l... (14/11/2021) |
Bien ↑ |
inconnu1 : Quand tu parais |
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Je suis un peu perdu dans ces images dont certaines ne me parlent guère ("le doute qui se fissure", est-ce à dire que la certitude revient ? Les yeux éborgnés, ça c'est bien étrange aussi). Heureusement que le dernier vers est donné en exergue, sinon, on ne saurait trop de quoi il est question. Mais enfin les vers sont souvent très beaux et mus... (13/11/2021) |
Bien |
Myo : La culture du doute |
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J'aime fort cette écriture rigoureuse et esthétique; le contenu m'emballe moins. Le doute peut être paralysant, et la certitude enthousiaste et active. Ils ne méritent ni cette diatribe pour celle-ci, ni cet encensement pour celui-là. Comme on dit, "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." C'est bon quelquefois de ne pa... (11/11/2021) |
Pas |
Vincendix : La lune est seule |
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"Un désir d'un astre", grammaticalement ce n'est pas très orthodoxe. Cette personnification de la lune a quelque chose d'un peu naïf ; la lune se moque bien des humains. L'argotique "thune" jure avec la tonalité élégiaque du poème. Heureusement qu'on ne cherche pas la fortune à minuit ; c'est aux heures de bureau qu'on la trouve.
Miguel, en EL (10/11/2021) |
Bien |
Lebarde : Entendre |
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Quoi de plus mélodieux que les cloches du dimanche, "l'airain sonore", comme les appelle Lamartine ? Pour ma part, j'adore les entendre chanter et les voir danser. Les bruits du monde n'ont pas le même sens pour tout le monde, j'en connais qui fondent de plaisir aux pétarades d'une Harley Davidson, d'autres aux vocalises d'un muezzin. A tous les... (10/11/2021) |
Bien |
driley : Le compromis politique |
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On sent que le français n'est pas la langue maternelle de l'auteur. Aussi peut-on louer son courage de se lancer dans l'écriture d'un poème. Encore un effort et ce sera bien maîtrisé. Pour le reste, dans toutes les langues la poésie repose sur l'image, la métaphore, toutes ces figures de style qui sortent du langage "standard" . Ici, on est enc... (10/11/2021) |
Un peu ↓ |
Robot : D'infortune en galère |
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Bien sûr que si, l'hiver les miséreux meurent de froid. Ce poème compassionnel présente quelques faiblesses comme le cliché "indigent transi" ou le plat "cet homme se lamente" ; d'ailleurs ces infortunés ne se lamentent pas, en général ils meurent en silence. Le "sourire nerveux", également, me semble tout à fait hors de propos, comme "le poing ... (10/11/2021) |
Un peu |
Ithaque : Martin |
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Le genre de poème qui ne parle qu'à son auteur ou à ceux qui ont connu ce qu'il évoque. On peut y trouver quelque chose d'universel, mais c'est un peu bridé par l'abondance des particularismes. C'est un peu long aussi, cette revue des gens et des clichés du passé. Mais enfin ça réveille un peu de nostalgie. (8/11/2021) |
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