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Pas |
dom1 : La nuit… |
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Un poème vide et dépersonnalisé au possible.
Des comme ça, sur un thème aussi éculé, j'en ai déjà lu des bien meilleurs.
Ici, j'ai la sensation que l'auteur a pris le premier mot qui rime (comme si c'était une fin en soi) et l'a collé sans souci de trouver un mot, une expression, une image qui fasse un petit peu joli ou harmonieux ou reche... (30/7/2016) |
Vraiment pas |
dom1 : Crier… [Sélection GL] |
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Je crois que ce texte contient tout ce qui me fait fuir.
Rythme et sonorité sont calamiteux (vous avez essayé de lire à voix haute ?). Les vers sont disgracieux quand ils ne sont pas banals ou convenus. Bref, c'est mal écrit ("attaquant en assauts" ????), lourd de chez lourdingue ("tout comme toi l'avouas", "à Londres Amsterdam et pourquoi pa... (30/7/2016) |
Bien |
Pimpette : Fermer pour toujours... |
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Des passages de pur poésie nostalgique et de tendresse comme (le meilleur passage du texte):
"Éclaboussés de couleurs fortes
Des tableaux accrochés partout
Et partout des montagnes de livres
Empilés au sol, n’importe où
Regarder en rigolant
Le film idiot du dimanche soir
Sous la couette du lit géant
Dans la bonne odeur des parents
La ... (22/7/2016) |
Pas |
LeopoldPartisan : Brèche brellienne |
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A la limite, peu importe si l'auteur semble juger l'homme ou ses actes. Je dirais que c'est à mettre sur le coup d'une colère et d'une déception qui doit être à la hauteur de l'admiration que l'auteur semble (ou semblait avoir ) pour le chanteur et l'interprète. Peu m'importe qu'elle soit fondée ou non, je ne connais pas assez la vie de Brel et ... (3/7/2016) |
Vraiment pas |
DIVERDE : À Georges |
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On peut difficilement trouver plus convenue, plus banale, que cette enfilade de mots creux de surcroît interminable.
L'auteur signe l'authentique exploit de produire beaucoup en quantité pour ne rien dire. Verbeux et vide.
Brassens mérite tellement mieux.
Avis personnel, comme toujours.
W (29/6/2016) |
Bien |
Pimpette : Le misogyne amoureux… |
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Inventif et assez fourre-tout dans la forme (mais ça m'a l'air pensé un peu comme un joyeux bordel organisé), je n'ai apprécié qu'à la seconde lecture. Pimpette se fout du tiers comme du quart de la sonorité et des rimes, elle balance, invente, détricote le standard pour apporter sa patte,une patte folle.
Un seul bémol véritable, les trois de... (24/6/2016) |
Vraiment pas |
Vincent : Tu as tué ta mère |
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. J'espère qu'il me pardonnera de ne pas développer davantage. Je me contenterai de dire que ce n'est pas le genre de poésie que j'aime lire. Je précise toutefois que cela n'a rien à voir avec le fond.
W
(auteur prudent) (19/6/2016) |
Bien |
Pouet : Bagne |
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Se renouveler, j'ai toujours trouvé ça audacieux parce que difficile.
Avec ce poème et quelques précédents, Pouet essaie du neuf même si, à bien y regarder, quelques indices perdurent : ça éventre, ça morsure, ça égorge, ça dissèque...
Dans le registre des pépites propres l'auteur, je mets dans mon escarcelle : "Au verger des mirages replant... (16/6/2016) |
Pas |
papyrobert : Depuis que nos cœurs se disent vous |
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Un poème dont la forme m'a dérouté. Cela commence de façon assez traditionnelle, solennelle (voire pompeuse) et conforme au titre qui nous prépare à une déclaration d'amour assez grandiloquente. Et puis, pas vraiment. Dans la seconde strophe, il y a ce Vishnou venu de nulle part qui distille une note presque humoristique. Assez déstabilisant.
... (15/6/2016) |
Bien |
Cidjy : Le temps ne fait rien à l'affaire |
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Sympathique et sans prétention je trouve l'exercice globalement réussi même si les couplets caustiques et tendres a la fois sont plus réussis que le refrain.
En effet c'est un texte qui se fredonne avec l'air du grand Georges.
Bel hommage et dans l'ensemble bien vu (7/6/2016) |
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