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Pas |
Fattorius : Les âmes sans visages |
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La langue est finalement assez vide, on ne ressent rien. Il faudrait peut-être trouver un ton, au lieu de vouloir simplement la mélodie classique; les formes dites classiques peuvent très bien sublimer autre chose qu'une seule et même prosodie.
Parce que là, elle endort tout, elle anesthésie les possibilités éventuelles du texte, du moins du su... (28/5/2012) |
Bien |
Pimpette : Tant et tant... |
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Malgré quelques fragilités, quelques maladresses, le texte s'intensifie, prend plus d'assurante au fur et à mesure, et que ce soit au début ou à la fin, il vibre, très touchant, très juste surtout, et à la fin, il se dresse comme la narratrice, ça, c'est très bien. (7/4/2012) |
Bien |
Mourmansk : La peau s’est endormie |
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Il tourne sur du vide qui se transforme bientôt en vertige une sensualité froide -de la neige-, on sent la nuit qui passe avec les voitures, et la vie en accéléré, jusqu'à la terrasse. (23/3/2012) |
Un peu |
pieralun : Épitaphe |
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La langue à la Brassens est bien respectée, les références assez bien amenées mais l'on reste en surface, il manque un flux particulier de l'auteur à Brassens, il manque ce qu'il chantait de Sète,il manque quelque chose de lancinant et de vrai, et lui, en fait, sa présence. (7/2/2012) |
Pas |
wancyrs : L'amante religieuse |
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Bon c'est rigolo. Mais la langue reste en surface, on ne peut parler de création, encore moins d'art, il s'agit uniquement d'un récit linéaire dont le seul piquant réside dans le thème. (30/1/2012) |
Vraiment pas ↓ |
David : Le prince au petit pois |
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Le texte présente une maîtrise technique fragile mais son plus gros handicap est de s'être cru obligé de casser le peu de ce qui restait de conte avec une langue grossière censée singer la langue courante.
Le problème aussi, c'est qu'on devine, par la volonté transgressive, l'intertextualité, la fin qui a vaguement l'air d'une chute, qu'il y a ... (15/1/2012) |
Vraiment pas |
Birdy/Artpentie : Bonne fête des oisals |
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Alors voilà ce que je n'aime pas dans le surréalisme: le texte devient un jeu de Légos, une construction sans âme, qu'on ne reconnaît pas. C'est un jeu, une loterie, pas d'art; il n'y a pas de sensible ici, on troque la beauté pour l'absurde sans poésie. (14/1/2012) |
Pas |
Lariviere : En trente-six chandelles |
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Bon alors je dois avouer que la portée d'une addition des horreurs et laideurs de l'humanité me semble très limitée, surtout quand elle ne démontre aucune esthétique, aucune poésie: ici, il s'agit de grands titres, de photos-chocs, mais il y en a trop, beaucoup trop, ça devient excessif, surjoué, presque indécent. Quant à la rythmique, la mise e... (18/12/2011) |
Pas |
Damy : Cauchemars dans des tissus précieux |
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Je suis désolée mais ça ne fonctionne pas. Du tout. C'est même irritant, qu'on ait voulu nous faire passer du bois doré à la peinture pour de l'or ciselé. Les mots ne résonnent pas, ils sont vides. On sent que l'auteur a cherché des images mais pour être intense une image ne doit pas se bricoler avec des ornements rares mais avec des rêveries es... (3/12/2011) |
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