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aboutie/aime beaucoup |
Eki : Cendres de neige |
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Bonjour Eki,
Un poème contemporain digne de cette appellation.
Je ne connais rien de cet opéra que d'avoir entendu le nom de "Madame Butterfly" ici et là dans quelque émission musicale et autre reportage mais pas de quoi me rendre érudite concernant le sujet.
Par contre j'ai entendu beaucoup de poésie dans ces vers bien ordonnés.
"la lèvre... (20/1/2024) |
aboutie/aime beaucoup |
Vincent : Ce petit bout de bois |
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Une chanson triste, sur un air de blues, mais pétrie d'affection pour ce sauveur venu des terres lointaines au péril de sa vie. Comment pourrait-il en être autrement tant les horreurs de la guerre restent dans les mémoires à jamais, de ceux qui les ont vécues, et de ceux à qui elles ont été racontées.
Une interprétation bien dans le ton du récit. (18/1/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Miguel : Petit poète et grand amour |
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Le poète énamouré supplie humblement mais la belle semble se jouer de ses attentes.
Une élégie en complainte courtoise, digne des troubadours d'autrefois, parfaitement versifiée.
Excellent monologue alternant reflexions, interrogations, suppliques, constats; il serait plaisant d'entendre la réponse de la dulcinée ^^ (17/1/2024) |
perfectible/aime un peu |
Cyrill : Flocon ! |
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Forme ayant l’apparence du sonnet, des rimes internes (rimes brisées), dont le rythme varie et montre que l’auteur a travaillé mais ce style de rimes, un peu démodé, alourdit le propos.
Je lis : en coryphée − en l’air − en leur costume − en leurs bouffées ... tous ces « en » présents rien que dans les quatrains me semblent... (13/1/2024) |
convenable/aime beaucoup |
Myndie : L'épave |
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Le clavier s'est fait pinceau pour mettre des mots sur des dégradés de couleurs sombres évoquant les éléments impalpables :
Le regard : le lavis de la nuit se délite au matin, l'acier d'un nuage, reflets d'un hiver incertain, le ciel décolore la plage...
L'oreille qui perçoit les nuances et les traduit avec des mots : on entend les rumeurs, u... (12/1/2024) |
aboutie/aime beaucoup |
Lebarde : Insupportable |
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Des strophes de sept vers, assez rares, hétérométriques, encore plus rares, parfaitement composées.
Le poème aurait peut-être gagné en "puissance poétique" en continuant sur huit syllabes avec ces mots de trois et quatre syllabes à la rime mais je comprends la démarche du narrateur pour qualifier, avec des mots brefs, la douleur de façon cingla... (10/1/2024) |
aboutie/aime beaucoup |
Eskisse : Mon ours ne sourit plus |
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Et si je disais que le titre représente à lui seul tout le poème ?
L'ours, ce doudou qui partage tous les secrets est souvent l'unique tremplin affectif entre la douleur et la douceur quand les adultes sont aveugles et sourds et pire encore, maltraitants, sadiques, pédophiles.
J'entends que l'enfant a essayé de tracer un sourire avec un feutr... (9/1/2024) |
très aboutie/aime beaucoup |
Jemabi : Stigmates |
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Que c'est poétiquement exprimé !
La douleur sous-jacente a la politesse du désespoir et la pudeur de ne pas nommer la violence, la cruauté d'un être immonde.
L'indicible en vos mots hurle en silence.
Je suis ébahie de votre façon de formuler la maltraitance. J'ai lue dans ces vers une poésie à fleur de peau dont j'oserai dire l'immense beauté... (8/1/2024) |
convenable/aime beaucoup |
Vincendix : Chat alors |
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Une poésie craquante qui ne manque pas de malice dans son discours d'avant que la gente masculine soit muselée dans l'expression de ses fantasmes coquins. Et pourquoi pas ?
Rhô...Rhâ là là ! Et ce chat qui vient rompre tout le charme de l'instant tant espéré...
Malin ou maudit chat :)
Ravie de vous revoir sur le site Vincendix. (6/1/2024) |
aboutie/aime bien |
Famineur : Brouillard |
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Ah ! cette nymphe ! Elle semble tourmenter le narrateur de bien douce façon au fil de ses poèmes. Insaisissable nymphe dont il n'a de cesse de chercher la présence évanescente.
J'aime bien l'ambiance "brouillard", ce complice des apparitions fugaces.
Des vers au balancement hypnotique, ou presque. Une mélodie en douze temps agrémentée d'un sou... (2/1/2024) |
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