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Les évaluations de Fortesque

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Bien SAINT-AMOUR : Le regard de Marie
Le narrateur semble avoir fréquenté le beau monde et ses hauts-lieux où règnent le faste et l'opulence. Avoir pris ses quartiers dans la cour des grands l'aura exposé ici plus que nul part ailleurs aux vicissitudes de l'âme humaine et à ses compromissions. Malgré le regard placide quasi sacerdotal dont il fait preuve, notre personnage témoigne d... (28/10/2013)
Beaucoup perthro : Anatomie comparée
Faut-il être à ce point ébloui par le chatoiement des ruisseaux et le scintillement des objets célestes qu'on se refuse à évoquer l'idée même d'une charogne gisant à nos pieds ? N'en déplaise, ce texte se livre à l'équarrissage pur et simple des beaux sentiments pour poètes à l'imagerie d'Epinal. Ceux-là se voilent la face quand ils retiennent d... (20/10/2013)
Bien brabant : Celui qui voulait devenir poète
Poète et baroudeur, au fond c'est vraiment kif-kif. Mais dans le genre épique, se faire rembarrer comme un gamin à devoir nouer ses lacets défaits, çà casse un mythe. Alors quitte à y perdre des plumes, autant voir les choses en grand, et même en très grand. Imagine Icare qui lève les yeux au ciel et puis baisse illico sa culotte. Tu parles d'un... (12/10/2013)
Beaucoup shanne : Et le mental ?
Coagulation du laid sur des bleus au coeur. Oui, on sent dans cette poésie un moi, si sûr de lui, qui forcit tout au long du texte mais finit heureusement par s'écrémer. On sent une baby, belle, aimante à l'eau, des bris de mots qui la révèlent, ses manques, son désir bouche-trou, çà rancit, douloureux. Il y a comme un goût d'amertume dans tous ... (29/9/2013)
Beaucoup Volodia : Genèse 2.0
ATCHOUM !!! "A Vos souhaits !" Tel serait plus naturellement l'écho qu'il conviendrait de renvoyer à cette incommensurable détonation, les voeux les plus vifs pour saluer pareille vigueur et semblable bonheur dans la validité de ce souffle créateur. Une bouffée d'air dont la qualité atteste bien plus la force de tempérament que l'intempérance ou... (22/9/2013)
Un peu TITEFEE : Complicité avec Victor Hugo "Chanson d'autrefois"
Entre les mots et les morts, il n'y a jamais qu'un air de rien. Fâcheux constat quand on y regarde de près. Il y aurait donc une vague ressemblance entre les cercueils et les livres qu'on ne s'en étonnerait pas, désormais. D'où la question de savoir s'il est judicieux de procéder à des exhumations sommaires dans le catalogue des bibliothèques. M... (25/8/2013)
Beaucoup aldenor : Ailleurs
Idée fort embarrassante tout de même que de s'évertuer à figer la poésie, à l'emprisonner dans une concrétion où les désirs d'un être humain, capitaine au long cours de sa vie, se cristalliseraient en un bloc bien compact. Et surtout, voilà un procédé pour le moins artificiel, aux consonances industrielles, qui voudrait nous convertir à la conso... (14/5/2013)
Bien David : Cycle aux mots stricts
"Un homme sans feu est un homme sans queue !", nous dit le bon sens populaire. L'espièglerie du propos se manifeste aussi par le petit bout de la lorgnette dans le travail de l'auteur où il n'est question, au fond, que de zizis en cols roulés ( ou en tutus ! ). Par le truchement du symbole, le briquet, l'allumette et la cigarette deviennent le p... (12/3/2013)
Beaucoup Labrisse : Des hommes et des moules (marinières) !
Et Dieu... créa la moule ! Marinières ou pas, l'auteur croit nécessaire de préciser le genre de moules dont il s'agit. Soit ! Il y a donc forcément une hésitation dans son esprit quant à savoir de quoi on parle, laquelle instille du même coup un doute dans le nôtre. A fortiori, on peut s'attendre à ce qu'il y ait des ambiguïtés dans le texte, v... (18/2/2013)
Pas wancyrs : L'envie d'essences
L'érotisme ce serait donc montrer sans dévoiler. Mmouais... Si ce n'était que cela, le poème stimulerait davantage mon imagination, à vrai dire. Mais ce texte se révèle appartenir à une catégorie bien différente que je nommerais volontiers "Pornoniris" pour les images si peu sensuelles qui s'y rattachent. Il tient plus du porno tiède que de l'ér... (27/1/2013)
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