Connexion
Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche
|
|
Passionnément |
papipoete : L'araignée |
|
Bonjour Papipoéte,
Un grand merci pour cette araignée!
Je l'avais remarquée en EL, mais je ne commente jamais "à chaud", puis je n'y ai plus eu accès, elle était en attente de parution.
La forme de présentation est étonnante, elle me rappelle la forme d'une toile tendue entre deux branches, je la trouve originale et belle.
Merci aussi pour c... (13/2/2021) |
Beaucoup ↑ |
PlumeD : N'a plus rien |
|
Dix lignes pour écrire le désespoir le plus total, avec simplicité, en usant d'images sans liens et pourtant tellement fortes, c'est un bel exploit.
Je ne peux citer aucun passage particulier, tout est à garder précieusement.
Vous avez un très beau talent, ne le laissez pas au fond du trou pour que l'on puisse en profiter encore souvent. (11/2/2021) |
Beaucoup ↑ |
julienrd : Berceuse |
|
Ces souvenirs d'enfance, où le soir au moment du coucher, on oscille entre la peur du noir, la solitude et le réconfort des bruits de la maison, puis l'espoir du matin avec le petit déjeuner qui renoue avec la vie; sont ici brossés avec tendresse, justesse.
Merci pour ce partage plein de nostalgie. (11/2/2021) |
Passionnément |
embellie : Ni la mort, ni la vie… |
|
C'est une poésie d'une force incroyable sur la vieillesse.
Beaucoup d'images d'une justesse cruelle: "Au réveil on la lave, on la coiffe, on l'habille; elle se laisse faire ainsi qu'une poupée", la troisième et la dernière strophes sont particulièrement douloureuses.
L'écriture est d'une justesse, empreinte de sensibilité et de pudeur qui don... (11/2/2021) |
Beaucoup |
Queribus : Ma maison à moi |
|
Ce poème d'une écriture simple nous montre pas à pas le quotidien d'une personne de la rue.
J'y trouve un paradoxe magnifique: ici c'est le sans abri qui offre sans limite de partager tout, et qui au final remercie d'un sourire donné loin des regards narquois.
Le ton n'est pas geignard, on est prévenu des points négatifs de l'invitation.
C'es... (30/1/2021) |
Bien |
Lariviere : Les jours levants |
|
Que de tristesse, de noirceur, de désespoir dans cette poésie.
Une approche fondée sur les couleurs où domine le jaune amer de la chambre, même "les désirs pâles...sourient tristement comme des enfants malades.
C'est une belle lecture, mais qui donne envie de rester couché volets fermés. (30/1/2021) |
Beaucoup ↑ |
ANIMAL : Orphelins de nulle part |
|
C'est d'une noirceur et d'un tragique inimaginable.
Mais comment traduire l'horreur autrement que par des images aussi fortes: "les dortoirs dépotoirs aux angles sans espoirs s'engluent dans la tristesse de lieux nus de tendresse", "cent visages figés aux rêves sans pensées"...
L'hommage rendu ici à ces orphelins de nulle part est vraiment ma... (26/1/2021) |
Bien ↑ |
embellie : Les sorcières de Strasbourg |
|
Le brassage des populations fait accepter le "peuchère" méridional de ces sorcières d'Alsace!
C'est une mignonnette histoire, pleine d'allégresse, qui voit les trois angelots finir complètement ivres, noyés dans les chaudrons de vin chaud. Dieu leur pardonnera, c'est son boulot!
J'ai bien aimé la légèreté du propos, ça déride. (23/1/2021) |
Passionnément ↑ |
Myo : Dis-moi… |
|
Les hasards de la vie nous font parfois rencontrer des êtres d'exception qui, malgré les échecs, les déboires, sont rayonnants d'amour, de joie, d'espoir.
Face à cela, avec admiration et une pointe d'envie, deux mots nous viennent: "dis-moi..."
Dis-moi comment trouver ce chemin qui permet de sublimer la noblesse et la froide cruauté de l'humai... (23/1/2021) |
Passionnément ↑ |
Lebarde : Eux parmi d’autres |
|
C'est plus qu'une poésie, mais la traduction épurée de la tragédie qui sépare un couple uni lorsque l'un s'en va.
Lui, le solide, le socle, est emporté par la pandémie actuelle. Elle, diminuée physiquement et psychologiquement reste seule. Comme très souvent chez les personnes atteintes de la maladie d'alzheimer, des éclairs de lucidité revienn... (22/1/2021) |
|